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    Tandis qu'un homme qui se promenait avec son chien en Angleterre dans le Derbyshire, il a rencontré par hasard ce qui semble être un cimetière pour des Fées.Les restes d'une femme magique aux ailes fines de 8 pouces, intacte avec des ongles minuscules,  dents et les restes de ces cheveux roux gracieux.Il y avait plusieurs restes étranges ,suggérant que c'était un cimetière magique.
     
    Les os ressemblent à la cavité de celle d'un oiseau et elle a un nombril, suggérant que ces petits êtres ont le même mode de reproduction que nous les humains, bien qu'il n'y ait aucun organes reproducteurs.Les rayons X  ont montré les restes pouvant ressembler à celui d'un enfant.

    Le secteur où la fée a été trouvée a toujours été mystérieux pour les habitants attenants dans ce secteur , ils y pouvaient voir parfois des petits feux brillants, pétillants , virvoletants et  " des hommes  fantomatiques." A la découverte de ce corps momifié, l'homme qui souhaite toujours rester anonyme a appelé sa femme pour venir voir pour qu'il soit sur que ce n'était pas une hallucination. Elle pouvait à peine croire que c'était une fée et qu'il y avait en tout 20 corps de ces petits êtres magiques.


    Un expert dans le paranormal a même été appelé pour examiner les corps et a révélé que ces fées avaient approximativement 400 ans .La question:Comment ces créatures n'ont jamais été détectées auparavant? Ces petits êtres se sont si bien mélangés avec le décor  que surement, ils se fondaient dans la masse pour ne pas être aperçue par les  riverains, chose que sait trés bien faire une fée " se fondre ds la masse pour rester invisible aux profanes".Enfin c'est ce que l'on m'a dit...

     
    Cependant, cette découverte de fées serai une plaisanterie d'Un imbécile et très probablement une des plus grandes mystifications au Royaume-Uni.L'Illusionniste Dan Baines "aurait" créé à ces dires cette fée et d'autres fées. Son site Web a reçu 20,000 personnes en un jour, peut être de la pub perso pr se faire connaitre et pr se rendre célèbre..Cette histoire était partout dans les journaux au Royaume-Uni.
     
    Baines a décidé de vendre une de ces fées sur Ebay et un acheteur non identifié est le propriétaire chanceux d'une fée momifiée.Quel veinard!

    Histoire vraie histoire fausse .........Le secret et mystère restent entiers....

    Article de Sab qu'elle m'a refilé il y a un moment,j'aime beaucoup cet article alors j'édite .
    Phil
    Site avec photos de cette fée :Lebanon Circle Magic Company
     

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  • Hades et Perséphone

    Dans la mythologie grecque, Hadès (Aidês), frère de Zeus et de Poséidon, est le maître des Enfers (dans le sens gréco-romain du terme). Il est marié à Perséphone.
    Il correspond au Sérapis ptolémaïque et au Pluton romain, qui lui est postérieur.
    Il est le fils de Cronos et de Rhéa. Il est marié à Perséphone et il est le maître des Enfers. Ses frères et sœurs sont Hestia, Déméter, Héra, Zeus et Poséidon. Il est englouti avec ses frères et sœurs par son père à l'exception de Zeus sauvé par Rhéa, qui oblige Cronos à les régurgiter.
    Selon la Souda, un lexique byzantin tardif (Xe-XIe siècle), il aurait une fille du nom de Macaria, déesse de la mort « heureuse ».

    Alors qu’il y a tant à dire sur le royaume des morts, force est de constater que son maître, Hadès, paraît relativement insipide.Donc fils de Cronos et de Rhéa, frère de Zeus, il compte, logiquement, au nombre des Olympiens. Du moins le devrait-il. Pourtant, son statut de divinité olympienne est fortement discutée par les spécialistes. Il faut dire qu’Hadès n’apparaît que fort peu dans la mythologie grecque, qu’elle soit Homérique ou classique. Eschyle lui conteste même son rôle de juges des morts ! Pourtant, n’est-ce pas de son nom même que l’on désigne le plus souvent le monde des morts, l’Erèbe homérique ?
    Maître d’un monde peuplé d’âmes errantes et à demi conscientes à l’époque homérique, Hadès devrait étendre son pouvoir au fur et mesure que les Enfers « s’éveillent », devenant le lieu des peines et des consolations. Pourtant il n’en est rien et plus les Enfers sont décrits, plus les auteurs anciens lui dénient le moindre rôle. Et qu’est-ce qu’un dieu des Enfers qui n’en est pas même le juge suprême ? Zeus, puis Rhadamante, Minos et Hermès, chez Platon, vont lui disputer ce rôle.

    Fresque antique représentant Hadès et Perséphone accueillant une âme conduite par Hermès. Pourquoi également, alors que les écrits sur les Enfers se multiplient, que les morts se font omniprésents dans la mythologie, Hadès est-il si peu visible ? A peine deux apparitions dans le monde des vivants et la visite de quelques héros, comme Thésée. De fait, Hadès est la divinité la moins présente de la mythologie olympienne. Associé pour l’éternité à Perséphone, son épouse, il fait bien pâle figure comparé à la déesse des Enfers ; tout juste si on lui accorde un culte à Eleusis –lieu par excellence du culte de Coré-Perséphone et de Déméter, sa mère. Comme si Hadès ne pouvait recevoir d’hommage qu’à travers ceux rendus à son épouse… Au final se pose sérieusement la question de savoir si Hadès est une divinité ayant donné son nom au lieu qu’elle est sensée dominer ou si ce n’est pas plutôt un lieu qui a été divinisé. Hadès serait alors une incarnation des Enfers, chargé d’accompagner Perséphone et non l’inverse. Comme elle, d’ailleurs, Hadès a une fonction positive : il est Plutôn, « Celui qui enrichit » et Eubouleus « le Bon conseiller », de la même façon que Perséphone est dispensatrice de richesses autant que déesse régnant sur les morts. Et dans le couple infernale, Perséphone est clairement associée à la Terre, cette terre qui est partie du cosmos, cette terre qui apporte la fécondité et la vie, cette terre, enfin, qui recueille les corps en un cycle parfait et naturel. De fait, Perséphone apparaît comme la seule vraie divinité des Enfers, ce qui expliquerait le peu de place accordée au frère de Zeus dans la mythologie. Hadès finit d’ailleurs par n’être qu’une divinité invisible, un état expliqué dans la mythologie grecque par le Kunéê, la casque qui rend invisible et que lui auraient offert les cyclopes avant le combat contre les Titans. Hadès, un dieu invisible parce qu’il ne serait jamais que l’incarnation tardive du monde dans lequel il vit, c’est-à-dire les Enfers.
    source historia nostra

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    Prophétesses, magiciennes, druidesses et déesses   
    Ecrit par Constance Cousin   

    Les auteurs anciens, sources essentielles dans la compréhension du monde gaulois, sont les premiers à nous mettre sur la piste des prophétesses.
    Elles étaient grises parce qu’âgées, raconte Strabon dans sa Géographie, portaient des tuniques blanches recouvertes par des manteaux du lin le plus fin et des ceintures de bronze. Ces femmes pénétraient dans le camp l’épée à la main, se précipitaient sur les prisonniers, les couronnaient puis les conduisaient jusqu’à un chaudron de bronze… Une femme montait sur une marche et, se penchant au-dessus du chaudron, tranchait la gorge du prisonnier que l’on maintenait sur le bord du récipient. D’autres découpaient le corps et, après avoir examiné les entrailles, prédisaient la victoire…

    Si Strabon fait preuve d’un certain dégoût en décrivant les actions des prophétesses, les empereurs romains se montreront bien moins tatillons. En effet, dès le règne de Claude, certains empereurs -notamment Dioclétien, Aurélien ou Alexandre Sévère-, dédaignant les traditionnels haruspices, ont préféré voir l’avenir à travers le regard des Gauloises. Et leur pouvoir était tel qu’elles ont pu jouir, dans leur tribu, d’un statut presque divin. Ce fut sans doute le cas de Velléda, dont parle Tacite dans Histoires :
    Il était interdit à quiconque d’approcher Velléda ou de s’adresser à elle… Elle restait emmurée dans une haute tour, d’où un membre de sa famille était chargé de transmettre questions et réponses, comme s’il s’agissait d’une médiation entre un dieu et un adorateur.
    Mais les prophétesses ne furent pas les seules à séduire les notables romains : les magiciennes gauloises étaient fort demandées, bien que discrètement, pour fabriquer des filtres ou lancer des malédictions.
    En Gaule même, leur réputation n’était plus à faire et elles formaient même des clans ou des « guildes » de magiciennes. C’est en tout cas ce que révèle une tablette en plomb, couverte d’inscriptions en gaulois, qui fut trouvée en 1983 dans le Larzac. Elle évoque une véritable « guerre de malédictions », que se livrèrent deux groupes de « femmes douées de magie » et dont un des clans a retracé l’histoire. Sans doute est-ce la mort de l’une des principales magiciennes -la femme trouvée dans la tombe- qui mit fin à l’affrontement.
    Mais la magie et les prophéties ne font pas une religion. Les Gauloises avaient-elles donc un véritable rôle religieux ? C’est ce que prétend Pomponius Mela, auteur romain du Ier siècle après J.-C., en parlant des neuf vierges, gardiennes de l’île de Sein, à l’Ouest de la Bretagne. Strabon confirme à son tour en évoquant des prêtresses vivant sur une île à l’embouchure de la Loire. Dans ce lieu interdit aux hommes, la coutume voulait que chaque année les druidesses reconstruisent, en une journée, le sanctuaire dont elles étaient les gardiennes, sans faire tomber un seul matériau, sous peine de mort. Enfin, la découverte à Chamalières, dans le Puy-de-Dôme, d’une statue féminine portant torque et voile -deux signes religieux- suggère qu’il s’agit là de la représentation de la druidesse, prêtresse du sanctuaire.
    Des femmes druides en Gaule ? Il y en eut certainement. Et, quand on sait le rôle primordial des druides, leur haute fonction et leur pouvoir immense, cela ne fait que confirmer la place importante des femmes dans la société gauloise.
     
     La mythologie n’est pas non plus en reste : le culte d’Épona, la déesse cheval, est commun à presque toute la Gaule et sera adopté par les légions romaines ; de même, le culte des « déesses-mères, qui existe depuis le néolithique, est, selon Renée Grimaud, profondément ancré dans la tradition religieuse gauloise ». Déesses de l’abondance, de la fertilité, de la fécondité, protectrices des nouveau-nés, elles se retrouvent dans tout le monde celtique, sous forme de statues ou de bas-reliefs. Quant à Bélisama, si, à l’est de la Gaule, elle est une sorte de déesse multifonctions du foyer, de la forge, de la poterie et de l’émail, d’après Jacques Marseille, elle devient, au sud de la Seine, une « divinité guerrière, une déesse féroce de la bataille et du carnage, volant au-dessus des combattants et jetant la panique chez l’ennemi ».
    Des déesses qui n’ont donc rien à voir avec celles de la mythologie grecque ou romaine, désignées généralement comme la femme ou la fille d’un dieu. Les déesses gauloises sont indépendantes et ne doivent leur pouvoir à personne…
    source : historia-nostra
     
     

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