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Par princessedenuit le 19 Mai 2008 à 23:12
Je vais vous parler de la légendaire étiquette donné a tord aux templiers, leur soi-disante idolatrie au plus celèbre bouc nommé :Baphomet.Rumeurs propagées par les ecclésiastiques de l'époque qui y voyaient des signes d'hérésie partout!Mon dieu quelle époque....Pauvres chevaliers du temple qui ont tant fait pour ces chefs religieux!
Quand bien même que ce Baphomet aurait été une idole des chevaliers cela ne prouve pas qu'ils étaient des satanistes ou autres définitions non appropriées pour ces chevaliers enfin cela ne tient qu'a moi mais rien n'a été prouvé pour cette idolatrie.L'idée première des écclésiastiques c'est que ce Baphomet n'avait guère de ressemblances humaines mais tout droit sorti de l'enfer, une tête de bouc égal bien sur à Satan...Bien que ces rumeurs allaient bon train , on ne sait toujours pas ou presque pas à ce que ressemblait Baphomet au temps des templiers et d'ailleurs ces chevaliers n'ont jamais dit un seul mot sur Baphomet.
Mais les Templiers ont eu certainement des contacts avec les musulmans,croisades obliges ,des idées, et même intégré des symboles de l'islam dans leurs emblèmes, mais l'islam interdit l'idolâtrie tout comme le veut 1 des 10 commandements, plus précisément celui-ci: "Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre".Donc nous pourrions en conclure qu'il n'y avait pas d'idôlatrie non plus chez les templiers.
Certains pensent que le nom dérive de l'arabe Mahomet,car il ne faut pas oublier que les chevaliers du temple sont restés et ont vécus très longtemps en Orient,mais personnellement je ne pense pas qu'il y ait un rapprochement à faire avec Mahomet .Autres noms donné: Bios-phos-métis, vie-lumière-sagesse,Baphe-métous ou Baphé-Mêtis, baptême de sagesse .
D'autres croient qu'il s'agit d'un chiffre Kabbalistique pour la déesse gnostique Sophia.Sophia en grec qui veut dire tout simplement:Sagesse.
Hugh Schonfield spécialiste des Manuscrits de la mer Morte, a appliqué le code Essénien dit code de Atbash,car Schonflied pensa que sous Baphomet se cachait d'un mot codé.Ce code, donc sous le nom de "Atbash Cipher",où l'alphabet hébreu est essentiel ,est mit deux fois dans des directions opposées, chaque lettre de la rangée du haut pour remplacer un sur la partie inférieure. Grâce à ce système, le nom Baphomet orthographié en caractères hébreu donne le nom de Sophia. Selon lui et son interprétation de ce mot codé, en vénérant "Baphomet", les templiers auraient voué en vérité un culte au principe de sagesse et aussi à la gnose.
Et curieusement un certain nombre d'objets de templiers portent l'image d'une androgyne qui ressemble au dessin alchimique de la Anima Mundi, ou âme du monde, qui est identique à la Sophia Gnostique (Sophia a été souvent évoqué par les gnostiques comme une divinité hermaphrodite )Encore plus curieux , les textes Gnostiques ont souvent fait le rapprochement de Sophia avec Marie-Madeleine , premier apotre du Christ.
Donc on peut en conclure , pas d'idôlatrie, pas d'hérésie, pas de blasphèmes, pas de sorcelleries , pas de cultes quelconque rien , nada et qu'il n'y avait pas plus croyant et fidèles que les Templiers!
Alors pourquoi les avoir torturés et brulès ?
La figure de Baphomet a été reprise au XIXe siècle par certaines personnalités du mouvement de l'occultisme et de l'hermétisme.Comme le non moindre et illustre Eliphas Levi de son vrai nom Alphonse-Louis Constant.Mais quand bien même ces grands hommes qui ont décrit ce bouc , Baphomet restera avec son secret........
SabLes Templiers et les Croisades : La symbolique Templière : Abraxas, Abacus, Baphomet, Beaucent, Gonfanon, Bouclier, épée, Chi... Les Templiers et les Croisades : La symbolique Templière : Abraxas, Abacus, Baphomet, Beaucent, Gonfanon, Bouclier, épée, Chi... La tête magique des Templiers - Salomon REINACH
4 commentaires -
Par princessedenuit le 28 Janvier 2008 à 20:53
Un article qui a retenue mon attention.
LE TRÉSOR DES TEMPLIERS
CACHÉ DANS LA SARTHE ?(Extrait de « Les légendes de l'Histoire de France »)A Juillé, dans la Sarthe, existe encore le vieux donjon d'un château en ruines, détruit à la fin du XVIe siècle sur ordre d'Henri IV punissant son seigneur d'avoir donné asile aux gens de la Ligue qui le combattaient. L'ombre de cette relique fortifiée cache encore le secret que, dans certaines veillées, se racontaient nos Anciens dans les chaumières. Il se disait alors que, dans les sous-sols du vieux donjon, existait un caveau dont le rocher du fond avait la particularité de s'ouvrir à minuit, le jour de Noël, pour laisser entrevoir une cavité emplie d'innombrables richesses.
Ce spectacle d'un trésor caché durait le temps que les douze coups de minuit mettaient à sonner, et le danger était grand d'essayer de le regarder plus longtemps car alors les parois se resserraient subitement. Un imprudent, attiré par l'éclat de l'or et des pierreries, s'y risqua pourtant ; Paul Duvallin conta en 1879 l'histoire qu'il disait tenir d'un sien aïeul qui lui aurait affirmé la tenir de son propre aïeul, André du Val de lin, qui aurait vu « la cache » !
Cela se passait au temps de la régence, où la vie des gens était fort difficile dans nos campagnes. Les épidémies y étaient courantes, Marseille subissait la peste, et la disette menaçait. La dîme et la redevance étaient pressantes, aussi tous les moyens étaient-ils bons pour essayer de survivre dans le pauvre royaume de France. Jean, un jeune laboureur de la paroisse de Juillé, avait connaissance de la cache du donjon. Un sien parent lui avait transmis le secret de famille : les Templiers avaient caché là une part de leur trésor, avant que Philippe le Bel s'accapare des biens de l'Ordre du Temple de Jérusalem après avoir fait arrêter, torturer et brûler sur un bûcher, leur grand Maître Jacques de Molay, en 1314.
Jacques de Molay, grand Maître
de l'Ordre du TempleC'était un secret qui ne se transmettait que de père en fils, selon un usage de notre campagne où il ne faut jamais confier un secret aux filles qui racontent toujours tout à leur confesseur et à leurs amants. L'origine de cette histoire de famille remontait aux temps des croisades, quand l'un de ses ancêtres, Hubert de Faudoas, était page de Guillaume de Beaujeu, un grand Maître de l'Ordre du temple tué à Saint Jean d'Acre en 1291, lors de l'assaut de la cité par les Musulmans. Devenu chevalier du Temple chargé de la garde du trésor de l'Ordre, l'ancêtre Templier aurait dissimulé l'or du Temple afin de le mettre hors de la portée des prétentions royales visant à l'élimination du pouvoir templier. Le gardien du trésor espérait ainsi pouvoir faire renaître l'Ordre, mais l'élimination physique de ses membres, la séquestration de toutes ses commanderies, et un secret trop bien gardé, rendirent à jamais impossible la renaissance du Temple. Toutefois, avant d'être lui-même envoyé au bûcher, Hubert de Faudoas avait eu le temps de confier le secret du trésor caché dans les souterrains du château de Juillé à l'un des siens.
Il lui avait dit avoir ramené de Terre sainte, un serrurier arménien qui détenait le pouvoir de faire ouvrir et fermer les portes sans utiliser de clés, uniquement par la vibration émise par un gong ou par une cloche. En utilisant cette magie, il avait donc fait aménager une cavité secrète dans le caveau de son château de Juillé, dont les parois du fond s'entrouvraient une seule fois dans l'année, au bruit de la cloche de l'église voisine sonnant minuit le jour de Noël. Toutefois, pour empêcher qu'on emporte le trésor, l'ouverture de la cavité ne durait que le temps de la résonance des cloches. Afin que ce secret soit préservé, le serrurier arménien et ses compagnons qui avaient travaillé à cette cavité, avaient été précipités dans les oubliettes du château. Seul l'héritier mâle des Faudoas était dépositaire du secret, héréditaire, de l'or du Temple.
Le trésor déposé là provenait des richesses de l'Ordre, ramenées de l'îlot forteresse de Rouad, en Syrie, au moment où les Croisés étaient chassés de Terre sainte, mais aussi d'une partie de l'or que Guillaume de Beaujeu aurait rapporté de ses mystérieux voyages maritimes en terres inconnues, quand il n'était encore qu'un simple chevalier. Afin de faire oublier l'ombre de son Templier d'ancêtre aux autorités royales conscientes d'avoir été bernées par l'Ordre, la famille d'Hubert de Faudoas se fit discrète durant des générations, en se contentant de gérer ses terres autour de son château féodal. Mais, à la fin du XVIe siècle, un mauvais choix politique attira une nouvelle fois le courroux royal sur elle. Ayant donné asile à des membres influents de la Ligue qui fuyaient la colère dHenri IV, leur château de Juillé fut démantelé, seul le donjon fut épargné de la démolition. La famille Faudoas dut alors se disperser dans ses fermes d'alentour pour y trouver asile et subsister.
Plus d'un siècle après cette démolition, Jean Faudoas était le dépositaire du secret de famille, et ses activités de laboureur dans la paroisse de Juillé ne lui permettant pas de nourrir décemment ses enfants; il décida d'aller, lors de la prochaine nuit de Noël, faire un prélèvement sur le trésor du Temple afin de disposer d'un peu plus d'aisance.
Connaissant les dangers de l'opération, avec le risque de rester enfermé dans la cave du trésor, mais ne pouvant, par serment familial, partager son secret avec personne, Jean Faudoas demanda toutefois à André, son frère de lait avec lequel il partageait son quotidien de laboureur, de se soucier de lui le lendemain de Noël. S'il n'était pas reparu à leur ferme du Val de lin à ce moment là, il lui demanda, en exigeant le secret de tout cela par serment, de venir voir dans le caveau du vieux donjon s'il avait laissé une trace de son passage. Et si cela était, de faire disparaître cette trace et de n'en jamais parler à personne.
Quand Noël arriva, André assista à la messe de la nativité en l'église de Juillé, mais il ne vit point Jean. Lorsque les douze coups de minuit sonnèrent pour célébrer l'eucharistie, chacun demanda à Dieu de lui accorder plus de faveurs que de soucis dans l'année qui viendrait. Quand la messe fut dite, les paroissiens regagnèrent leurs logis en chantant des prières pour se réchauffer l'âme dans la nuit d'hiver.
Le lendemain, André n'aperçut pas Jean au Val de lin. Fidèle à son serment, il conserva ses inquiétudes pour lui et, malgré le grand froid d'une forte gelée qui rendait la surface de la terre glissante, il s'équipa d'une torche et d'un bâton pour se rendre, le soir venu, dans les ruines du château. Il connaissait le sentier de ronces qui menait au caveau du vieux donjon, pour l'avoir parcouru étant enfant, lors de jeux partagés avec Jean. Ayant apporté quelques braises dans sa boîte à cendres, il alluma sa torche lorsqu'il parvint à l'escalier aux marches disjointes, qui menaient dans les entrailles de la tour. Le chemin conduisant au caveau était sombre, et André n'était pas certain que l'âme des défunts seigneurs de Juillé le laisserait en paix quand il pénétrerait dans leur sanctuaire. Enfin, tremblant un peu, il pénétra dans le caveau, mais l'éclat de sa torche était insuffisant pour dissiper toute l'ombre de ces lieux.
Jacques de Molay
et Geoffroy de Charnay
sur le bûcher (XIVe siècle).
Bibliothèque de l'Arsenal, Paris.André remarqua que la dalle qui recouvrait l'un des tombeaux était restée ouverte, dégageant un passage qui s'ouvrait sur un escalier s'enfonçant dans un puits d'ombre. Luttant contre sa peur, mais comprenant qu'il s'agissait là de la trace dont lui avait parlé Jean, André s'engagea dans la descente. Après quelques marches, il pénétra dans une petite fosse vide de tout sarcophage. L'explorant alors à la lueur de sa torche, il remarqua que le mur du fond présentait comme une fissure, une fente si mince qu'elle n'était visible que par l'espèce de filet sanguinolent qui paraissait avoir jailli en son milieu. Au pied du mur, au centre d'une tâche rougeâtre, se trouvaient comme des bouts de doigts sectionnés à hauteur de la première phalange. Il y avait aussi un objet brillant, qui paraissait avoir roulé là ; on aurait dit un calice qui brillait de mille feux sous l'éclat de la torche, comme une énorme pierre précieuse qui se serait échappée du mur. Il n'y avait rien d'autre.
André s'efforça alors d'ébranler le mur, le frappant avec son bâton, mais il ne s'en échappait nulle résonance creuse, et aucune voix ne répondait à ses appels. L'interstice de la fissure, qu'il devinait plus qu'il ne la voyait, était trop mince pour permettre d'y introduire même la lame de son poignard. Aux débris sanglants qu'il avait ramassés au pied du mur, André devina qu'un drame s'était déroulé là, et que Jean en était sûrement la victime. Impuissant face au mur, et commençant à suffoquer dans la fosse, André ramassa le ciboire, remonta, et referma la dalle du sarcophage afin d'effacer la trace du passage secret. Il sortit du caveau et rejoignit sa ferme en méditant sur le sort advenu à son frère de lait. Il se doutait bien que le mur contenait la clé du mystère de la disparition de Jean mais, tenu par son serment, il ne pouvait se parjurer en demandant de l'aide.
Après quelques jours de réflexion, tourmenté mais soucieux de ne pas encourir la colère divine, André décida de confesser une partie de cette affaire au curé afin d'obtenir que soit dite une messe à la mémoire de Jean. Pour prix de cette dévotion, il remit le ciboire au curé en lui affirmant que tel était le voeu de Jean avant qu'il disparaisse, mais il ne dit pas un mot sur le passage secret du caveau sous le donjon.
Lui-même tenu au secret confessionnel, et ne sachant comment justifier la présence d'un ciboire décoré de pierres précieuses dans sa paroisse, le curé de Juillé remit l'objet à l'évêque du Mans par le biais d'une offrande à la Vierge Marie.
Benoît XIII
(pape de 1724 à 1730)
Surpris de la beauté de cette oeuvre, l'évêque la fit analyser et expertiser par des orfèvres, sans toutefois révéler comment elle lui était parvenue. Mais bientôt des rumeurs circulèrent sans que l'on sache qui les propageait, disant que le Saint Graal venait mystérieusement de réapparaître en terre celtique du Maine. Le ciboire d'André était en effet en moldavite, cette pierre classée précieuse, d'une gemme brun vert, qui provient de Moravie où l'on dit qu'elle est d'origine météorite. Or les légendes celtiques du roi Arthur et de ses chevaliers de la Table ronde, prétendent que le Saint Graal, qui aurait recueilli le sang du Christ, aurait été taillé dans cette gemme. Ainsi, le ciboire de Juillé entrait secrètement dans la légende. Trouvant sans doute trop pesant le poids du mystère de cet objet brusquement ressuscité, l'évêque du Mans fit don du précieux calice au Saint Père Benoît XIII, qui venait d'inaugurer son pontificat.Le trésor du Temple et son refuge secret sont toujours enfouis sous les ruines d'un vieux château. André conserva son secret : il avait vu le Saint Graal ! Selon la tradition, il le transmit à son fils en exigeant le serment de la préservation du secret familial. Lui-même le transmit à son fils pour suivre le cours du temps. Cette... étincelle d'un morceau de légende poursuivit son chemin mais, aujourd'hui, n'ayant qu'une fille pour héritière, je confie le secret familial à ma plume pour réveiller les Templiers !
Paul Duvallin, 1879
:: Vous pouvez retrouver cette légende au sein de l'ouvrage
« Les légendes de l'Histoire de France » (Tome II / 1832-1992)
par Paul Vallin, paru aux éditions Bénévent
Pierre du guérisseur,et du magnétiseur elle est pierre dénergie. Nom de son lieu d'origine: Moldau, (Moldavie), Tchécoslovaquie.
Moldavite formée à la suite de chutes de météorite, c'est une variété de tectite très rare. A partir du chakra du coeur elle nettoie les canaux ou passe l'énergie , elle augmente la fréquence vibratoire de tous les corps et renforce l'aura.
Sa Purifications se fait à l'aide de :Eau et soleil, Amas cristallin.
Utilisée depuis l'âge de pierre comme
talisman et amulette pour la chance et
la fertilité. Beaucoup de gens sont persuadés
qu'elle aidera la transition et la guérison de la
terre et que le moment est venu d'utiliser ses
énergies avec sagesse.
Elle accelerai le dévellopement personnel , elle serai un puissant outil de communication mental .
Moldavite a pour lame de tarot L'étoile la XVII
on dit aussi qu'une pierre d'un beau vert serai la pierre qui tomba du front de Lucifer pour en orner le Graal ... Moldavite ou Emeraude? aussi appellée Lapis Ex Coelis (Pierre Céleste) qui nous renvoie à une quête symbolique d'immortalité et d'absolu sans précédent.
( Lucider = Etoile du matin )
2 commentaires -
Par princessedenuit le 23 Juin 2007 à 20:40
Le Secret Des Templiers. Formidable Docu. 1/5
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