• Juste un poème..

    Par princessedenuit le 18 Mars 2007 à 14:43

    Un poème que cela fait un petit mmt qu'un ami m'a envoyé , j'espère qu'il ne m'en voudra pas de l'avoir mis sur le blog..Je le trouve magnifique ...

    Sans personne s'est dur
    Devant moi il y a un mur
    Qui me dit n'avance pas
    Va plutot la rejoindre la bas
    Je ne sais pas quoi faire
    Je manque d'air
    Dans ce monde
    Qui me parait Immonde

    Je ferais couler mon sang
    Tout comme tu as fait saigner mon coeur
    Je veux revoir ton sourire une dernière fois
    A me rapeller avec toi tous ce qu'on sait dit une fois
    Pourquoi tu me l'as dit soudainement ?
    L'histoire se serais fini peut etre autrement
    Tu étais ma flamme dans mon coeur
    Or celle-ci c'est éteinte

    Mon coeur est recouvert de poussière
    Car je suis mort a l'intérieur de moi
    J'aimerai etre amnésique
    Pour oublier tout ça
    Or ce n'est pas possible..
    Alors je te donne ma vie    ........


     

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  • Pétale de poèsie et Tends ta main

    Par princessedenuit le 1 Mars 2007 à 20:14

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    Des pages  dédiées à Esteban Hache , il m'a donné son aimable autorisation pour que je puisses mettre en page ces poèmes.Je trouve ces poèmes trés beaux..Je le  remercie et j'éspère que cet auteur vous plairas autant qu'il me plait de le lire .
     
    "PETALE DE POÈSIE"

     De cette association de poètes nouveaux aux idées chatoyantes
    Telles des pétales de fleurs naissantes aux couleurs éblouissantes
    Jaillissement de sentiments si divers et si époustouflants
    Beauté des âmes pour une direction, un idéal flamboyant ...

     Fleurs aux pétales bleues, esprit d'un espoir en écrit
    Fleurs de pétales jaunes, cerveau éblouissant d'un message
    Fleurs à pétales rouges, âme courroucée de ces pages
    Fleurs à couleurs multiples, mental de Pétale de Poésie.

     
    EsteBan HACHE

         Copyright : Poème '"PETALE DE POÈSIE"'
    Copyright © EsteBaN HACHE

    Tends ta main

    Et mes pleurs ne cessent de croître et de croître
    Face à cette absence qui n'a de cesse de m'abattre
    Sans parler de cet oubli qui se fait grande présence
    Où mon cœur se grise dans cette profonde absence
    Pourquoi ce silence qui n'a de cesse de m'abrutir
    Au fond duquel ma raison ne fait que s'étourdir ?
    S'il y a un sens, peut-être giratoire ? ce plein creux
    Alors il n'y a qu'un absolu pour lequel je m'émeus

     
    Que deviennent donc tous ces jalons posés : des chimères ?
    Quant à toutes ces touches de vie, où sont ces repères ?
    Flagrante brisure qui a en conquête le voile du gris
    Pour témoigner au regard absent tous ces petits débrits
    Quelqu'un, quelqu'une aura-t-il ce fameux flash de raison
    Pour joindre au geste cette sérieuse pensée de démangeaison
    Qui aura le cran, fière crinière de cheval, sous peu de temps
    Pour démettre, au lever du jour, soleil ! cette distance - cent ans ?
     Et si aujourd'hui, au goût du jour, il y avait plus qu'espoir
    Et si ? Car il est bien possible que vive plus que la mémoire
    En effet, la rose née, toujours pour embellir que les lendemains
    Si seulement, tu te donnais l'objectif de tendre ta main !
     

    EsteBan HACHE

    le 13 août 1997
    Copyright : Poème 'Tends ta main'
    [Poème : Tends ta main][œuvre original]
    Copyright © EsteBaN HACHE  
     
    cette chanson je la dédie à un ami que j'affectionne beaucoup..Bisous à toi
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  • Je sais..

    Par princessedenuit le 28 Février 2007 à 23:29
     
     
    Je sais des silences éloquents
    Qui trahissent les pensées voilées,
    Délicatesse d'un amour émouvant,
    Se dénudant enfin sans oser s'exprimer.
    Je sais des silences épuisés
    Qui alanguissent les amants oublieux
    Du temps, qui s'enfuit énervé,
    Accrochant leurs regards soucieux.

    Je sais des silences ternes
    Qui font mourir d'ennui,
    Les pensées se figer et les yeux lanternes,
    Paupières évasives se cillant à demi.
    Je sais des silences malheureux
    Qui taisent leurs angoisses,
    Malmenés par la vie, effrayés, honteux
    Dans leur bouche amère se meurent des paroles lasses.
    Je sais des silences victorieux
    Qui affichent, sans pudeur aucune,
    Des triomphes faciles, douteux,
    Balayés par les vents, emportés par la brume.

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