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Par princessedenuit le 2 Octobre 2006 à 18:26
Les Combustions Spontanées
La combustion humaine spontanée (CHS) est un phénomène très mystérieux. Elle consiste à la carbonisation spontanée dune personne. Un des aspects importants de la CHS est que la flamme nest pas créée par lextérieur ou lentourage de la personne, mais semble venir de lintérieur du corps humain. Dans la majorité des cas, il ne reste que les jambes ou les bras de la victime après linflammation.
Il parait que le premier cas de CHS a été rapporté en 1673, lorsquune femme fut retrouvée complètement carbonisée. Cette femme buvait souvent de lalcool et ce soir-là, elle est allée se coucher. Le lendemain matin, il ny avait que des cendres sur son lit sauf sa tête et ses doigts qui étaient restés intacts.En faite le premier cas recensé fut celui de la comtesse Cornelia Bandi en 1731. Un des récents cas rapportés fut celui qui est arrivé en 1973 lorsquun bébé âgé de sept mois a soudainement pris feu dans son berceau. Les causes de lincendie nont pu être déterminées. Ces tristes histoires font partie des nombreux records de la CHS qui ont été évalués aux fins détude.
Il y a plusieurs hypothèses qui ont été proposées sur la CHS. Certaines personnes pensent quil sagit dune inflammation créée par des gaz intestinaux, tandis que dautres prétendent quil sagit dune punition effectuée par Dieu. Une autre théorie considère que cest un gaz inflammable qui crée des boules de feu à lintérieur du corps humain et qui prend feu spontanément ou quil y a quelque chose dans le corps humain qui crée une flamme ou une explosion. Tous les cas rapportés démontrent quil sagit dun feu très puissant puisquil carbonise le corps jusquà la cendre en quelques instants. Une autre théorie est celle dune arme à rayon de micro-onde utilisée par des extra-terrestres contre les humains. De plus, une chose qui a été remarquée, cest que la victime est toujours seule et semble incapable de bouger, soit quelle est paralysée par la peur, a eu une crise cardiaque, est tombée dans un coma soudain, est ivre ou quelle est tout simplement assommée dû à une chute. Deux choses semblables ont été remarquées à chacun des cas rapportés, soit que la victime ne semble pas avoir souffert et que lentourage na pas créé cette inflammation.
On retrouve plusieurs documents sur le sujet, plusieurs hypothèses proposées par des spécialistes et des scientifiques, mais aucun ne semble encore prouver la raison réelle de la CHS.
Quant aux hypothèses les plus irrationnelles, Jacques Bergier, spécialiste du paranormal, avançaient que les victimes de combustion subiraient ce que les alchimistes désignaient sous le nom de "feu secret", une sorte de feu surnaturel à mi-chemin entre l'énergie chimique et l'énergie nucléaire.
La CHS est un phénomène très étrange. On se demande encore pourquoi ou comment le corps humain peut prendre feu spontanément ? Il suffit despérer quun jour ce mystère sera enfin résolu.Cliquez ici :combustion spontanee[fichier] @@@300@@@300[/fichier]
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Par princessedenuit le 15 Juillet 2006 à 13:20Le chateau d'If, situé en plein centre de la rade marseillaise, est un lieu chargé d'histoire et de légende..
Ancienne prison d'Etat construite sous François 1er, cette forteresse a été rendue célèbre par le roman d'Alexandre Dumas : "Le Comte de Monte Cristo".
La légende voudrait que le Masque de Fer ainsi que le Marquis de Sade y aient séjourné...Mais celle qui m'a interressée c'est l'histoire de Alberto del Campo.Alberto del Campo, dont Benvenuto Cellini qui le rencontra dit qu'il fut l'un des sorciers les plus redoutables de la Renaissance, est crédité de plusieurs centaines d'empoisonnements criminels. Héritiers de grandes familles, Seigneurs et Rois, recoururent secrètement à ses services, et la "petite histoire" affirme que ce fut, entre autres, del Campo qui composa pour elle les poisons dont usa Catherine de Médicis pour se débarrasser des gêneurs.- Au château d'If, le cachot appelé "des condamnés à mort" situé à la hauteur de la troisième marche de l'escalier du donjon, reçoit, hors saison touristique, à certaines lunaisons précises, de bien étranges personnages.
- Depuis quatre siècles, le Château d'If, longtemps prison d'État, accueillit dans ses sinistres cellules des criminels de haut-vol tels les frères Martel, bandits de grand chemin, des conspirateurs célèbres comme les marquis de Cinq-Mars ou de Lavalette, le Prince Casimir frère de Ladislas VII roi de Pologne, le comte de Mirabeau ou Philippe d'Orléans (plus connu sous le surnom de Philippe-Égalité) et plusieurs êtres hors du commun, situés entre réalité et légende, notamment l'abbé Faria et Edmond Dantès, héros du Comte de Monte-Cristo d'Alexandre Dumas.
- Le tout premier pensionnaire du cachot "des condamnés à mort" fut, dit-on, Albert del Campo, l'un des criminels les plus diaboliques de l'histoire. Ce sorcier, avait déjà été condamné à mort par deux fois en Italie, sa patrie, où la renommée populaire lui attribuait d'extraordinaires pouvoirs occultes. La légende veut qu'il se soit échappé par magie des prisons oû il séjournait, fers aux mains et aux pieds, collier de fer autour du cou, avant de venir s'établir en Provence, à Aix. Là, il pratiqua à nouveau les spécialités qui l'avaient rendu célèbre en Italie: confection de poisons, évocation des morts et nécromancie.
- Les héritiers impatients, appartenant à de riches familles patriciennes ou marchandes, faisaient appel à lui pour savoir dans quel délai ils pouvaient espérer disposer enfin de leur héritage.
- Albert del Campo, qui, selon le célèbre orfèvre de la Renaissance, Benvenuto Cellini, possédait le secret d'un poison indécelable, le faisait servir par sa maîtresse à la personne dont il avait prédit aux héritiers la fin prochaine. La petite histoire prétend que Catherine de Médicis le rencontra secrètement au cours de l'un de ses voyages et eut recours à ses services à différentes reprises.
- Premier prisonnier du Château d'If, le mage fut brûlé vif le 23 décembre 1588 à Aix, jour même de l'assassinat du duc de Guise et du cardinal de Lorraine, décès qu'il avait prédits au jour près à un envoyé secret de la Reine.
- L'esprit errant d'Albert del Campo apparaîtrait aujourd'hui encore près de son cachot du Château d'If, à ceux qui l'évoquent dans les règles de l'art, et leur transmet ses puissantes et maléfiques énergies.
- Les pantacles, les formules et les rituels magiques dont usait ce sorcier hors du commun ont été fidèlement transmis de maître à élève durant quatre siècles et seraient, selon les initiés qui en gardent jalousement le secret, d'une efficacité redoutable.
- Au château d'If, le cachot appelé "des condamnés à mort" situé à la hauteur de la troisième marche de l'escalier du donjon, reçoit, hors saison touristique, à certaines lunaisons précises, de bien étranges personnages.
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Par princessedenuit le 20 Juin 2006 à 17:36
Un couple de retraité , bien tranquille prés de Lisieux en Normandie ..Alors qu'ils savourent leur maison construite d'eux mêmes,et voilà qu'un soir tout commence .Rien ne laissez présager une telle mésaventure bien étrange et sans explications plausibles de tous ces phénomènes .Je vous laisses regarder la vidéo .Biensur pour les septiques , ces faits resteront des supercheries ou des faits venant des imaginations des habitants, mais quoi qu'il en soit il y a des faits , des apparitions , des bruits qui restent inexplicables et ca peut arriver à n'importe qui et ça à n'importe quel moment.
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Par princessedenuit le 19 Juin 2006 à 18:23Marthe Robin (née le 13 mars 1902 à Châteauneuf-de-Galaure, (Drôme), dans le quartier de Moïlles, et décédée le 6 février 1981) était une mystique française, inédique et stigmatisée. Elle fut avant tout : une authentique crucifiée, telle que le Christianisme, ainsi que toutes les autres religions, en ont (assez régulièrement) connu au cours de l'histoire
Elle était le sixième enfant de Joseph Robin et dAmélie-Célestine Chosson. De 1909 à 1916 son état de santé ne lui permit plus de fréquenter lécole que de façon irrégulière.
En 1911 elle fit sa première communion et en 1916 quitta l'école pour travailler à la maison et dans les champs comme toutes les filles de son âge, mais en 1918, elle tomba malade (probablement une encéphalite léthargique, résultant de la fameuse grippe espagnole, qui fit plus de ravages en Europe entre 1918 et 1930, que la guerre de 14-18 elle-même..), et devint grabataire, restant même dans le coma pendant 27 mois. En 1921, après avoir reçu lextrême-onction, elle se porta mieux et put au moins marcher avec des béquilles; elle en profita pour accomplir deux pélerinages, commençant alors à se découvrir une vocation particulière à la souffrance. Le 15 octobre 1925 elle écrivit sa consécration totale de victime d'amour, vouant à Dieu sa vie et sa maladie. En 1926, elle tomba gravement malade et à partir du 25 mars 1928, ses jambes restèrent définitivement paralysées. Depuis ce jour-là, elle ne put plus absorber aucune nourriture, si ce nest la communion, ni dormir. Après le 2 février 1929, ses mains aussi furent paralysées et, en 1940, elle devint aveugle.
En 1929, elle reçut les stigmates et, à partir de ce jour, vécut régulièrement, du jeudi au vendredi, la passion du Christ dune façon si intense que le sang lui sortait du front et des yeux, à seize ans, elle avait dit à son père, (parlant d'elle-même..), en lui montrant une simple croix de bois vide de Christ: il n'y a personne, on s'y mettra..
Sous son impulsion, fut ouverte le 12 octobre 1934 une école chrétienne pour filles suivie plus tard d un collège et dune école ménagère. Le 10 février 1936, elle exprima le désir que fussent construits des Foyers de Charité qui devaient être des communautés de prêtres et de laïcs, réunis pour des exercices spirituels, qui porteraient témoignage à la Lumière, à lamour du prochain et à lamour de Dieu par une vie de prière et de travail dans le monde. Les premiers exercices pour femmes commencèrent à l'école le 7 septembre de la même année. Par la suite eurent lieu des exercices auxquels participaient hommes et femmes, ce qui était, alors, une grande nouveauté. Le 17 mai 1948, un bâtiment propre était construit à Châteauneuf-de-Galaure pour le Foyer de Charité.
Quasi inconnue du public sa vie durant, après son enterrement, (le 12 février 1981, auquel assistèrent 6 évêques et environ 7000 personnes), les consignes de discrétion autour de Marthe Robin furent implicitement levées, et des récits de sa vie, furent enfin diffusés de par le monde, par tous les médias de l'époque.Importance de sa vie
De nombreux Foyers de Charité furent construits dabord en France et plus tard dans le monde entier, comme par exemple en Suisse (1969 à Bex) et en Allemagne (1972 à Gunzenbach, dans la commune de Mömbris). En 2002 existaient plus de 70 établissements. En 2004 on commença à construire deux foyers en Autriche.
Les réflexions et les prières, qu'elle rédigeait elle-même au début et dictait par la suite, sont très connues surtout dans le catholicisme français. Elle recevait de nombreuses visites de personnes qui appréciaient ses conseils, et cest ainsi quelle exerça une grande influence dans l'apparition de nouvelles communautés, comme par exemple la Congrégation Saint-Jean, la Communauté de l'Emmanuel et la Communauté de la Glorificationquelques charismesOn ne peut pas dire que Marthe se nourrissait biologiquement de la communion; Cette Hostie, qu'elle recevait au maximum deux fois par semaine, était une nourriture certainement spirituelle, mais comme les médecins l'ont constaté, ainsi que ceux qui étaient présents auprès d'elle, l'Hostie n'était pas avalée par Marthe, qui n'avait pas de métabolisme (salivation, par exemple). Ces témoins affirment que l'Hostie se précipitait des doigts du prêtre vers Marthe et y disparaissait immédiatement au contact de la bouche de Marthe. De nombreux médecins ont étudié le cas de Marthe Robin, ses stigmates, l'Eglise étant toujours très prudente sur ces phénomènes mystiques (on pense également à Thérèse Neuman et à Padre Pio) Parmi les charismes particuliers de Marthe Robin, il y avait celui du discernement. Elle pénétrait les coeurs et les âmes, trouvait le mot juste, le conseil, l'encouragement des petits et des grands qui venaient chercher une direction de vie auprès d'elle. Elle avait également des lumières particulières sur la façon de la monde tournerait : la guerre, une nouvelle pentecôte sur l'Eglise, la place de la France dans le monde...source wikipediaStigmatisé(e)s célèbresPlus officiel, sinon plus véridique, est François d'Assise (1186-1226) qui, séjournant sur le mont Alverne ( en Toscane) en 1224, aurait vu un séraphin à six ailes flottant dans les airs, et dont le corps était fixé à une croix, comme celui du Christ. Une fois la vision disparue, François d'Assise aurait constaté l'apparition sur son propre corps de marques semblables à celles qui furent faites à Jésus, marques qui demeurèrent indélébiles.
Parmi les autres stigmatisés célèbres, on peut citer Catherine de Sienne (1347-1380)<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>, saint Jean de Dieu, sainte Marie de l'Incarnation, Anna Katharina Emmerick, célèbre par ses visions , Thérèse Neumann(1898-1962)<o:p></o:p>, Marie Nazzour et Padre Pio (1887-1968) qui le 16 juin 2002 a été canonisé, maintenant il est reconnu officiellement comme un saint par lÉglise Catholique....(il y a un abus de leurs part...)Et bien entendu Marthe Robin .Si vous voulez en savoir plus sur la stigmatisation je vous mets le lien vers un site d'un ami qui fait un super boulot!!Cliquez ici:Taverne de l'étrange[fichier]@@@350@@@350[/fichier]
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Par princessedenuit le 19 Mai 2006 à 19:02
On ne connaît ni son auteur, ni son origine. Nul cryptographe n'a encore réussi à déchiffrer un seul mot ni d'ailleurs une seule lettre du texte. On ne sait même pas en quelle langue il a été écrit! Depuis cinq siècles, le manuscrit de Voynich garde son secret.
Le manuscrit mesure neuf pouces par six et comprend 204 pages de texte. Presque chaque page contient une illustration parfois en couleurs: plantes fantastiques, diagrames astrologiques, panoramas bizarres avec des femmes nues. Mais même si les dessins sont étranges, c'est le texte, de petites lettres écrites avec soin, qui étonne vraiment. Il est écrit dans un alphabet mystérieux qui n'existe nulle part au monde et, après des siècles d'études, ni le meilleur médiéviste, ni le plus patient des cryptographes n'a encore réussi à établir ce qu'il dit, qui l'a écrit, où, quand, ou pourquoi...
D'où vient ce livre étrange?
On y fait référence pour la première fois dans une lettre écrite à Prague le 19 août 1666 par Joannes Marcus Marci, Marci , docteur, scientifique, orientaliste, et recteur de l'université de Prague, la plus ancienne de l'Europe centrale. Marci avait obtenu le manuscrit d'un ami, médecin de Rodolphe II, l'empereur du Saint Empire. Ce Habsbourg, collectionneur de tableaux, passionné de science avait fondé un jardin botanique et construit un observatoire pour Tycho Brahe et Johannes Kepler. Il avait aussi acquis une impressionnante collection de livres rares dont le célèbre manuscrit pour lequel il avait payé 600 ducats.
On ne sait pas si Marci avait tenté de déchiffrer le manuscrit. Mais, septuagénaire, voyant la mort venir, il avait commencé à distribuer sa bibliothèque personnelle à ses amis. Il réserve le manuscrit pour le jésuite Athanasius Kircher à Rome qui avait été son professeur. Dans sa lettre à Kircher il se dit convaincu que le manuscrit, convaincu, ne pourrait être lu par personne d'autre.
Le père Kircher est en effet un bon choix. Son intérêt pour les hiéroglyphes et autres sujets archéologiques était bien connu. Mais il semble qu'il n'ait pas tenté de déchiffrer le texte. Trois siècles passent durant lesquels le manuscrit tombe dans l'oubli.
En 1912, Wilfrid M. Voynich, collectionneur de livres anciens, découvre le manuscrit dans la bibliothèque de la Villa Mondragore, un collège jésuite près de Rome. Voynich l'achète et le ramène en Amérique. Il en fait parvenir des copies à des spécialistes: linguistes, paléographes, médiévistes et même astronomes et botanistes. Le manuscrit résiste à toutes les tentatives de déchiffrement.
En 1919, il demande l'aide de William R. Newbol, un spécialiste du grec, du latin et d'autres langues anciennes. Pendant six ans, Newbold s'acharne. Il meurt convaincu, comme d'ailleurs l'empereur Rodolphe II, que l'auteur est Roger Bacon. Ce dernier est le scientifique le plus étrange du Moyen Age. Ce moine anglais du XIII siècle, théologien et savant est le précurseur de la science expérimentale. En fait, ce personnage est tellement extraordinaire que les spécialistes lui accordent la paternité de tous les manuscrits intéressants dont on ne connaît pas les auteurs. Bien avant Vinci, Bacon avait eu la prémonition des voitures sans chevaux, des bateaux à moteur, des machines volantes etc. On lui attribue même l'invention de la poudre à canon. Mais les dernières recherches montrent que le manuscrit a été écrit vers 1500 deux siècles après la mort de Bacon. Mais c'est peut-être une copie d'un texte de Bacon....
Si l'auteur reste inconnu, le texte demeure une véritable sirène pour les cryptographes. et, puisqu'on ne peut pas lire le texte, il faut se tourner vers les dessins. La majorité représente des plantes ou leurs parties. Sur les 400 dessins botaniques seules seize plantes ont été identifiées, et encore, on n'est pas certain. Etrangement, certains dessins ressemblent à des sections minuscules d'organismes végétaux comme si l'auteur les avait observés à travers un microscope lequel n'a pas été inventé avant le XVI siècle. Il n'y a aucune explication pour les nombreuses femmes - il n'y a aucun mâle- nues qui apparaissent dans des cercles concentriques.
Depuis l'arrivée d'Internet, il y a regain d'intérêt pour le manuscrit. Plusieurs chercheurs de différentes disciplines peuvent désormais unir leurs efforts pour déchiffrer le manuscrit et essayer d'en découvrir la langue, l'auteur, l'origine et le sens.
Alors grimoire de magiste ou encore traité d'alchimie ? Ecrit par Bacon ou pas ? le mystère reste entier...
Les images viennent du site :Le manuscrit Voynich
Roger Bacon ( désolée il est en anglais)Rocky Road: Roger Bacon
Roger Bacon - une introduction En français
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