• Les années passent, défilent, fuient
    Mais qu'importe le temps écoulé
    On garde notre âme d'enfant enfuit
    Sous notre écorce immaculée

     
    Peu importe notre âge, nos années
    Le principal, je vous le dit
    C'est d'y croire et d'y espérer
    A la Nuit de Noël, tout es magique.

    Je vous souhaites à tous et toutes de
    joyeuses fêtes de fin d'année
    à tous ceux et celles qui me laissent
    des mots de gentillesse sur le livre d'or et qui m'en envoient par emails.
    Je vous remercie tous et toutes et vous dit à 2007 .
    bises
    Sab

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    Dès que l'homme commencé à cultiver la terre, il a suivi attentivement la trajectoire du soleil tout au long de l'année, car c'était de lui que dépendait la nourriture, la chaleur et le bien-être. Le cours des saisons déterminait aussi le moment des fêtes. Depuis la nuit des temps, les rites de remerciements et de sacrifices étaient célébrés dès que le soleil atteignait les points significatifs de son orbite, c'est à dire aux solstices d'été et d'hiver. Comme le solstice d'hiver marque le début de la période de l'année où les journées commencent enfin à se rallonger, les anciennes peuplades lui attribuèrent une grande importance religieuse. Les celtes fêtaient ansi le retour de la lumière en brûlant des sapins afin de guider le dieu soleil. Cette coutume s'est perpétuée au fil des siècles en subissant quelques modifications. Elle se retrouve actuellement dans toutes les maisons sous la forme du sapin de noël couvert de guirlandes lumineuses et de boules scintillantes. La plupart des décorations lumineuses collées au fenêtres et aux vitrines répondent au mêm symbolisme: fêter le retour de la lumière et guider le retour du dieu solaire...


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    Les romains, quant à eux, invoquaient Saturne, dieu des semailles et de l'agriculture, dont le nom vient du verbe latin Severe (semer). Sa fête, les Saturnales, donnait lieu à de grandes réjouissances entre le 17 et le 24 décembre. A l'origine, les Saturnales avaient lieu à l'occasion des semailles, mais cette tradition se perdit avec le temps. Cette célébration servit peu à peu à justifier toutes sortes de réjouissances effrénées, de fêtes et d'orgies. Le poète gréco-romain Lucien, qui vécut au IIe siècle ap. J.C., décrivit les Saturnales comme une occasion pour boire plus que d'ordinaire, faire du vacarme, jouer et danser, pour nommer des rois et donner des repas aux esclaves. Il régnait une gentillesse à l'égard de tous. Comme pendant nos fêtes de Noël actuelles, on offrait des cadeaux: des porte-bonheur, du miel, des gâteaux, de l'or étaient des cadeaux courants. On décoraient les maisons avec du lierre, des branches de houx et de gui et tout travail, à part celui de la cuisinière et du banquier, était interdit.

    Les peuples nordiques, de leur côté, célébraient Njord, dieu de la fécondité et Idun, gardienne "des pommes de providence", nourriture des dieux tandis que les orientaux vouaient un culte à Mithra, divinité de la lumière.

    Toutes ces religions antérieures au Christianisme donnaient l'occasion de fêter le solstice d'hiver avec pour but de redonner courage et espoir au peuple effrayé par les sols gelés, l'absence de vie et l'obscurité.
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    Au 4e siècle, pour enrayer ces cultes païens, l'Eglise chrétienne prit une mesure très astucieuse. La fête de la naissance du Christ fut avancée du 6 janvier (épiphanie ) au 25 décembre. En effet le solstice d'hiver du 25 décembre était la fête la plus importante de l'an mithraïen: on fêtait la renaissance du "sol invinctus" (dieu invaincu). L'Eglise n'hésita pas à déclarer le Christ "sol invinctus".
    Les chrétiens procédèrent de la même manière au cours de l'évangélisation d'autres peuples: la fête de Noël fut transférée aux jours de fêtes païens importants, tels que la fête de Jul chez les germains. L'objectif restait le même: faciliter le passage de la coutume païenne à la foi chrétienne.

    Un élément facilita cette démarche: il s'avérait impossible de fixer une date précise pour la naissance du Christ (janvier ou mars mais j'opte pour mars vue que c'était l'ère du Poisson) , car à l'époque il n'existait pas de calendrier universellement valable. La plupart des chrétiens furent vite persuadés que la date de la naissance du Christ était le 25 décembre.

    On s'interrogea sur la manière dont on allait célébrer l'événement. Les autorités ecclésiastiques s'accommodèrent globalement de l'esprit des saturnales. Même si ces fêtes exubérantes choquaient un peu les moeurs chrétiennes, il ne fut pourtant pas impossible de concilier les deux rites. En effet beaucoup d'éléments de la fête païenne s'adaptaient aisément au nouveau cadre chrétien. Il ne fut pas difficile, par exemple, de créer un lien entre le houx aux feuilles piquantes et la couronne d'épines du Christ.

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    Voici donc comment,l'Église essaya de faire disparaître les traditions religieuses adverses mais bon quant-on a ces convictions on s'y tient. Ce que vous allez fêter  n'est pas la naissance du Christ mais bien le retour de la lumière.Car il est injuste de condamner les fêtes celtes car toutes les fêtes Chrétiennes sont basées sur leurs fêtes.Mais pour finir je dirais qu'il faut et qu'il vaut mieux concilier les deux sans penser à la religion , juste se dire que l'on fête la Noel pour deux raisons car il faut respecter les deux traditions car sinon toutes magies de ce jour sans vont , alors fêtons le retour de la lumière et la "naissance" d'un sage .Enfin de compte beaucoup de choses se ressemble et s'assemble mais bon nous ne sommes pas fichu de nous entendres...

     
    En attendant et bien attendons le Père Noel pour voir le plaisir dans les yeux des enfants, qui chez nous dans le Nord est saint-Nicolas .
    Bises et bonnes fêtes à tous et toutes
     
    Sab
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  • Deux passages pour mon frere du Tao Te King le livre de la voie et de la vertu et des paroles du Dalaî -Lama

     

    Vous le regardez (le Tao) et vous ne le voyez pas : on le dit incolore.
    Vous l'écoutez et vous ne l'entendez pas : on le dit aphone.
    Vous voulez le toucher et vous ne l'atteignez pas : on le dit incorporel.
    Ces trois qualités ne peuvent être scrutées à l'aide de la parole. C'est pourquoi on les confond en une seule.
    Sa partie supérieure n'est point éclairée ; sa partie inférieure n'est point obscure.
    Il est éternel et ne peut être nommé.
    Il rentre dans le non-être.
    On l'appelle une forme sans forme, une image sans image.
    On l'appelle vague, indéterminé.
    Si vous allez au-devant de lui, vous ne voyez point sa face ; si vous le suivez vous ne voyez point son dos.
    C'est en observant le Tao des temps anciens qu'on peut gouverner les existences d'aujourd'hui.
    Si l'homme peut connaître l'origine des choses anciennes, on dit qu'il tient le fil du Tao.

    Celui qui est parvenu au comble du vide arde fermement le repos.
    Les dix mille êtres naissent ensemble ; ensuite je les vois s'en retourner.
    Après avoir été dans un état florissant, chacun d'eux revient à son origine.
    Revenir à son origine s'appelle être en repos.
    Être en repos s'appelle revenir à la vie.
    Revenir à la vie s'appelle être constant.
    Savoir être constant s'appelle être éclairé.
    Celui qui ne sait pas être constant s'abandonne au désordre et s'attire des malheurs.
    Celui qui sait être constant a une âme large.
    Celui qui a une âme large est juste.
    Celui qui est juste devient roi.
    Celui qui est roi s'associe au ciel.
    Celui qui s'associe au ciel imite le Tao.
    Celui qui imite le Tao subsiste longtemps ; jusqu'à la fin de sa vie, il n'est exposé à aucun danger.

    L'univers


    Lorsqu'on se demande quelle est la cause substantielle du monde matériel à rebours de l'histoire de l'univers, on remonte jusqu'à ces particules d'espace qui sont devenues les éléments qui composent ce monde manifeste. On peut alors se demander si ces particules d'espace ont elles-mêmes eu un commencement. La réponse est non. Elles sont dépourvues de commencement. Là où certains autres systèmes philosophiques affirment que la cause première est Dieu, le Bouddha nous suggère une autre façon de voir : et si la ou les causes premières n'existaient tout simplement pas ?

    Le monde n'a pas de commencement. Alors surgit une nouvelle question: pourquoi n'a-t-il pas de commencement?

    La réponse est que c'est sa nature. il n'y a pas de raison particulière. La matière est seulement la matière. Le problème est plutôt celui-ci: qu'est-ce qui justifie l'évolution de l'univers telle que nous la connaissons ?

    Qu'est-ce qui justifie l'existence des particules dispersées dans l'espace qui ont formé l'univers tel qu'il nous apparaît ? Pourquoi tout cela a-t-il suivi certains processus de changement selon un certain ordre ? Les bouddhistes répondent qu'il existe une condition qui rend tout cela possible, et cette condition, c'est la conscience des êtres animés. Par exemple, au cours des cinq derniers milliards d'années, l'âge de notre planète, des micro-organismes et des êtres animés sont apparus, respectivement il y a deux et un milliard d'années. (Nous appelons «être animé» tout être qui ressent le plaisir et la douleur.) Et notamment au cours du dernier milliard d'années, on observe une évolution vers des organismes plus complexes. À présent, nous autres, les êtres humains, nous faisons l'expérience de ce monde. Or une relation s'établit entre notre environnement et nous puisque, en effet, nous faisons l'expérience du plaisir et de la douleur relativement à cet environnement.

    Les bouddhistes demandent alors: pourquoi fait-on l'expérience de l'univers sur ce mode relationnel? La cause elle-même du plaisir et de la douleur dont nous faisons l'expérience ici renvoie au fait que nous avons contribué à quelque chose, quelque part, à un certain moment du passé, dans l'évolution qui a abouti à la situation présente. C'est ici que la question du karma intervient. L'univers précédant celui-ci était composé d'êtres animés qui partageaient avec nous des continuums de conscience et de ce fait fournissent une connexion de l'ordre de la conscience entre leur univers et le nôtre.


    extrait de :Le pouvoir de l'esprit

    Le courage


    Agir sur nos émotions négatives est un travail de longue haleine. Persévérance, détermination, volonté sont nécessaires. Lorsque vous êtes découragés, lorsque vos acquis vous paraissent dérisoires, relisez ou songez aux vies des grands maîtres du passé, à l'histoire du Bouddha. Tous ont surmonté des difficultés, des souffrances, souvent invraisemblables, au cours de leur quête spirituelle. Réaliser la Voie, se réaliser, demande un grand courage.



    La colère



    La colère est un frein à notre évolution spirituelle. Un instant de colère détruit les mérites acquis souvent avec difficultés pendant des années, voire au cours d'une succession de renaissances. La colère est l'un des plus terribles ennemis de l'esprit.

     


    Extraits de Sages paroles du Dalaï-Lama


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    Qui est Scylla ?


    Scylla était la fille de Phorcys et d'Hécate. C'était une nymphe d'une grande beauté et elle a un peu trop fait la maligne et se jetait au cou de tous les hommes qu'elle croisait, sauf à celui du dieu Glaucos.

    Pour parvenir à la faire céder à ses avances, il appela à son aide Circée, la magicienne qui prépara une potion et la versa dans la fontaine où la nymphe avait l'habitude de se baigner ce qui provoqua la transformation de Scylla en monstre.




    l'Yggdrasil 


    Il fait parti de la mythologie germanique et scandinave. Symboliquement, il représente l'arbre cosmique qui soutient le monde. La sphère est représentative de l'univers, la terre d'Asgard, entouré de montagnes, séjour des dieux, est inaccessible aux hommes. A son pied se trouvaient les 3 Nornes, femmes fantastiques qui tissaient le fil des vies humaines (équivalent chez les gréco-romains : les Moires, ou les Parques).

    L'arbre qui le représente est le frêne. Cet arbre était choisi le plus souvent le plus grand possible. Mais, le symbole qu'il est censé représenter dans l'inconscience collective, c'est l'axe de notre planète.

    J.J.R. Tolkien dans son oeuvre "Le Seigneur des Anneaux" s'en inspire en grande partie. L'Yggdrasil est un mythe qui ouvrent la porte du Fantastique, à de nombreux auteurs de la Science-Fiction et de ce que les anglo-saxons appellent l'Heroic-Fantasy.




    les Nibelungen 


    Les Nibelungen sont les nains des légendes germaniques. Ils possédaient de grandes richesses qu'ils tiraient leurs mines en dessous des montagnes, là où ils habitaient.

    Les Nibelungen avaient de grandes richesses, et avaient pour roi Nibelung. Cette légende du XIIIème siècle qui récite les exploits du chevalier Siegfried, a inspiré Wagner et sa tétralogie connu sous le nom de l'Anneau de Nibelungen, mais certainement aussi Tolkien lorsqu'il écrivit le Seigneur des Anneaux.

    A noter que le conte que nous connaissons en français sous le nom de "Blanche Neige et les sept nains" est inspiré lui aussi en grande partie du Nibelungen. Il s'agit ici d'une variante que les frères Grimm ont eu la possibilité de retranscrire. Il a bien sûr été traduit en français.


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  • Monstre secret
    (Mel Vadeker, 2004)

    Prouesses sans failles des fatalités humaines
    Belles facilités tissées de duperies

    La vérité se voile d'un paravent de promesses
    Illusions organisées et vilenies sacrées

    Torrents d'inepties ou flots perpétuels
    Les vagues charrient des vies brisés

    Subsister en liberté dans l'antre vivante
    Invisible dictature aux murs de verre

    De pénibles réponses pour un silence en or
    Le sort tragique, apogée de l'ignorance

    Prodigieuse influence du monstre secret
    La réalité se drape d'un tissu infâme.

    Parler ou se taire
    (Mel Vadeker, 2005)

    Je ne sais plus que faire. Peut-on vraiment en dévoiler encore sans provoquer la confusion et la détresse ?

    Observer et ne pas agir est aussi ridicule que de sombrer dans le syndrome de cassandre. Il existe une autre méthode pour changer ce qui peut l'être. Cette certitude se démontre d'elle-même.

    J'ai peur avec ce temps qui coule, de perdre ma lucidité, par oubli, fatigue ou vieillesse. Je commence déjà à ne plus me souvenir des détails comme si on effaçait ma mémoire.

    C'est la terreur qui surprend la vérité.

    SAVOIR
    (Mel Vadeker, 2005)

    Arrête toi un temps car le monde n'est plus ce qu'il était. Parfois l'initié côtoie son prochain en respectant ses croyances sans parvenir à masquer son regard
    condescendant. N'agit pas de la sorte.

    N'oublie pas que l'homme qui connaît des épreuves accroît son savoir. Je n'ai pas envie de renouer avec ces émotions fortes. Alors que reste t-il ? Des sensations diffuses et cette envie de faire passer une énergie.

    J'ai vu et connu dans ce monde des choses bien étranges. De cela, j'en suis revenu mais ce qui m'a terrassé provient de ce corps social avachi. Cette masse endormie qui se recroqueville dans une inertie tellement forte qu'elle en devient criminelle.

    Ils veulent des gens forts mais sont incapables de suivre leurs propres instincts pour se dégager de la misère morale dans laquelle ils se laissent prendre. Ils radotent comme des vieillards, incapables de sortir d'un sable mouvant de pure bêtise.

    Ils implorent, ils toussent, ils crient. Ils reçoivent des manuels de survie qu'ils sont incapables d'interpréter. Ils préférent se vautrer dans la plainte en niant par avance toute résolution. Se voiler la face et cacher la vérité, un ancien credo qui fait maintenant l'unanimité.

    Ne dit plus rien et observe cette société du spectacle. Il n'y a plus de révolutionnaires mais des comédiens utopistes projetant en l'air des munitions gratuites. Ces idées creuses qui font autant de ravages que les
    propagandes médiocres des faiseurs de guerre.

    Que recherches tu ? Une belle phrase que tu répéteras comme un perroquet jusqu'à t'en décrocher la mâchoire. Tu te retourneras ensuite dans ta tanière à attendre
    l'armée des morts. Voilà un comportement bien prévisible.

    Rien, il n'y a rien de pire qu'un moribond qui s'ignore. Es tu vraiment vivant ? Regarde toi en face et tu te verras comme le reflet de ton monde.

    Tu attends un miracle et pourquoi pas cette balle magique en plein front pour changer ton regard. C'est ton pire cauchemar c'est aussi ta délivrance. Quitte à souffrir autant choisir la voie qui mène à la connaissance.

    Lâche cette candeur. Retourne vers le caché. Si tu survis à la peur, tu pourras t'accomplir dans cette zone inconnue. En modifiant ton regard tu ajouteras à ta puissance une qualité de perception.


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