• Je vous laisses avec ces qques chansons et petites citations aux passages, pr toute une semaine,j'ai besoin de me ressourcer...Pour moi ca va etre relache,recherches, et autres .J'espere que pr ts ceux qui sont en vacances et bien qu'ils auront soleil! Je fais de gros bisous à ma Gégé, merci pr le punch et ce grand week end ,ben tu sais ma grande trop bien.Gros gros bisous à mon Nico , à Boubou ah ba vi qd mm jvais pas t'oublier ( merci pr la recette lol ) à Toni , Black et à Isa et toute sa famille ainsi que baal.

    Bises à tous ceux et toutes celles qui viennent régulierement sur le blog

    "Sab"

    Aimer, c'est n'avoir plus droit au soleil de tout le monde. On a le sien.
    [Marcel Jouhandeau]

    (bien vrai celle là , j'ai trouvé mon mien)

    Bob Marley - Could You Be Loved

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    @@@200@@@200[/fichier]

    Vivre sans amis, c'est mourir sans témoin.
    [George Herbert]

    Gotan Project - Diferente
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    @@@200@@@200[/fichier]

    L'amitié sans confiance, c'est une fleur sans parfum.
    [Laure Conan]

    Eros Ramazzotti - Cosas de la vida

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    Qui n'a pas connu l'absence ne sait rien de l'amour.
    [Christian Bobin]

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    INDOCHINE - Tes Yeux Noirs

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    @@@200@@@200[/fichier]


    Un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais donne autant de lumière.
    [Abbé Pierre]


    Faudel - Mon Pays (trop bien ce ptit Faudel!)

    Pr le frere à Gégé.

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    @@@200@@@200[/fichier]

    Lorsqu'on sourit à la vie, elle vous rend ses sourires.
    [Jean-Claude Brialy]

    David vendetta - Unidos para la musica

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    @@@200@@@200[/fichier]


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  •  
    Surgie des ténèbres de l’oubli par la volonté de Geoffroy Plantagenêt pour faire pendant à Charlemagne, dont les rois capétiens se réclamaient, la légende du roi Arthur est, surtout, un outil de propagande au service des rois d’Angleterre.
    Mais, dans les premières versions de la légende, Arthur ne meurt pas et part pour Avalon avec sa sœur, la fée Morgane. Cette version n’arrangeait guère les affaires d’Henri II Plantagenêt qui comptait, pourtant, beaucoup sur l’histoire d’Arthur afin d’asseoir une légitimité encore fragile et fortement contestée par ses ennemis.

    Alors qu’il espérait unir les Bretons et les Normands contre les Saxons, les derniers envahisseurs de la Grande-Bretagne avant Guillaume le Conquérant, les Bretons se montraient encore réticents et ne se pressaient pas sous la bannière Plantagenêt. Pourquoi une telle réserve ?
    C’est que non seulement Arthur n’est pas mort, mais la légende proclame qu’il reviendra en Bretagne et reprendra la tête de son peuple. Comment Henri II pouvait-il être roi à part entière quand la moitié de son royaume attendait le retour d’un souverain du VIe siècle ?
    Pour mettre fin à « l’espoir breton », Henri II fait donc écrire une nouvelle histoire d’Arthur, le Roman de Brut, version vulgarisée, tirée de l’Histoire des rois de Bretagne par Wace. Dans le Roman de Brut, qui sera la véritable base de tout le cycle arthurien, Arthur est bien emmené à Avalon mais il en est revenu et il est mort. Henri II « localise » alors Avalon qui serait l’abbaye de Glastonbury, à la frontière du Pays de Galles. En effet, Glastonbury est la traduction d’Inys Wytrin, c’est-à-dire l’île de Verre, qui est une des interprétations que l’on donne d’Avalon.
    Quant à « l’espoir breton », il est mis à rude épreuve après la « découverte », en 1190, de la tombe d’Arthur et de Guenièvre, par un moine de Glastonbury. Quand la tombe est mise au jour, selon les instructions d’un moine visionnaire, on découvre enfin le squelette d’Arthur et celui de Guenièvre, portant encore sa couronne d’or. Le coup est presque fatal pour « l’espoir breton » et la maison Plantagenêt exulte : non seulement Arthur est bien mort, mais il est maintenant un personnage historique que personne ne pourra plus nier. Pourtant, la légende a la vie dure et l’on dit encore en Bretagne qu’Arthur reviendra : « Roi de jadis, roi à venir ».
    source : historia nostra
    La tombe du Roi Arthur à Glastonbury


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  • Les jongleurs du XIIIe siècle avaient divisé les romans -mot désignant, à l’origine, les ouvrages écrits en langue romane- en trois catégories qui procédaient de trois sources distinctes : romans de Charlemagne, romans de la Table ronde et romans de l’Antiquité grecque et romaine.
    Chacune de ces trois catégories comprenait un grand nombre de sujets différents qui correspondaient l’un à l’autre par une succession de faits homogènes et analogiques. C’étaient autant de cycles formant un vaste ensemble, dans lequel on trouvait des personnages de même race et de même caractère.

    Le XIIe siècle fut la grande époque de la « romancerie » et les jongleurs, qui diffusaient ces romans, faisaient assaut de nouveauté, cherchant des sources de « gai sçavoir », où personne n’avait encore puisé. Ce fut pour répondre à la demande de leur public passionné que les trouvères de langue d’oïl mirent en rime et en prose les vieux « lais » bretons et augmentèrent le vaste domaine du roman français. De là, une longue série de romans « de Bretagne » ou de la Table ronde…
    Les chevaliers de Flandres et de Franche-Comté avaient accueilli, de la bouche des jongleurs bretons ou dans les livres latins écrits sur la foi d’anciens récits, les traditions des Celtes et des rois fabuleux de Bretagne. C’était le roi Marc et son neveu Tristan, épris de la femme de son oncle, Iseult, sous la fatale influence d’un philtre invincible. C’était aussi Arthur, l’Hercule celtique, l’époux de la plus belle et de la plus inconstante des femmes, Guenièvre, et qui était entouré d’une cour de héros.
    Les auteurs de romans bretons avaient fait d’Arthur le fondateur de la chevalerie, le créateur des tournois, en racontant que ce valeureux roi faisait asseoir à sa Table ronde les vingt-quatre -on dit parfois douze- meilleurs chevaliers de son royaume, qui formaient ainsi la cour plénière de la chevalerie. Arthur, en fait, est le symbole de la féodalité, le garant des valeurs chevaleresques et du système féodal où les chevaliers suivent leur propre route, tout en étant prêts à répondre, sur l’heure, à l’appel de leur souverain.
    Modèle de chevalerie, dont il est l’expression la plus achevée et la plus parfaite, figurant parmi les Neuf Preux -les autres étant Hector, Alexandre, César, Josué, David, Juda Macchabée, Charlemagne et Godefroy de Bouillon- Arthur n’en oublie pas le « fine amor », c’est-à-dire l’amour courtois qui règne en maître dans le monde arthurien. Les dames y jouent un rôle prépondérant et la galanterie la plus raffinée est de mise, élevant les principes du « fine amor » à son paroxisme puisque l’amour courtois est nécessairement adultère, tout comme l’est l’amour entre Lancelot et Guenièvre, entre Tristan et Iseult.
    source : historia nostra


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  • Un peu d'histoire ne fait jamais de mal donc voilà 3 vidéos qu'un ami m'a envoyé.Merci Toni

    Les Celtes 1/3

    Les Celtes 3/3


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  • Hades et Perséphone

    Dans la mythologie grecque, Hadès (Aidês), frère de Zeus et de Poséidon, est le maître des Enfers (dans le sens gréco-romain du terme). Il est marié à Perséphone.
    Il correspond au Sérapis ptolémaïque et au Pluton romain, qui lui est postérieur.
    Il est le fils de Cronos et de Rhéa. Il est marié à Perséphone et il est le maître des Enfers. Ses frères et sœurs sont Hestia, Déméter, Héra, Zeus et Poséidon. Il est englouti avec ses frères et sœurs par son père à l'exception de Zeus sauvé par Rhéa, qui oblige Cronos à les régurgiter.
    Selon la Souda, un lexique byzantin tardif (Xe-XIe siècle), il aurait une fille du nom de Macaria, déesse de la mort « heureuse ».

    Alors qu’il y a tant à dire sur le royaume des morts, force est de constater que son maître, Hadès, paraît relativement insipide.Donc fils de Cronos et de Rhéa, frère de Zeus, il compte, logiquement, au nombre des Olympiens. Du moins le devrait-il. Pourtant, son statut de divinité olympienne est fortement discutée par les spécialistes. Il faut dire qu’Hadès n’apparaît que fort peu dans la mythologie grecque, qu’elle soit Homérique ou classique. Eschyle lui conteste même son rôle de juges des morts ! Pourtant, n’est-ce pas de son nom même que l’on désigne le plus souvent le monde des morts, l’Erèbe homérique ?
    Maître d’un monde peuplé d’âmes errantes et à demi conscientes à l’époque homérique, Hadès devrait étendre son pouvoir au fur et mesure que les Enfers « s’éveillent », devenant le lieu des peines et des consolations. Pourtant il n’en est rien et plus les Enfers sont décrits, plus les auteurs anciens lui dénient le moindre rôle. Et qu’est-ce qu’un dieu des Enfers qui n’en est pas même le juge suprême ? Zeus, puis Rhadamante, Minos et Hermès, chez Platon, vont lui disputer ce rôle.

    Fresque antique représentant Hadès et Perséphone accueillant une âme conduite par Hermès. Pourquoi également, alors que les écrits sur les Enfers se multiplient, que les morts se font omniprésents dans la mythologie, Hadès est-il si peu visible ? A peine deux apparitions dans le monde des vivants et la visite de quelques héros, comme Thésée. De fait, Hadès est la divinité la moins présente de la mythologie olympienne. Associé pour l’éternité à Perséphone, son épouse, il fait bien pâle figure comparé à la déesse des Enfers ; tout juste si on lui accorde un culte à Eleusis –lieu par excellence du culte de Coré-Perséphone et de Déméter, sa mère. Comme si Hadès ne pouvait recevoir d’hommage qu’à travers ceux rendus à son épouse… Au final se pose sérieusement la question de savoir si Hadès est une divinité ayant donné son nom au lieu qu’elle est sensée dominer ou si ce n’est pas plutôt un lieu qui a été divinisé. Hadès serait alors une incarnation des Enfers, chargé d’accompagner Perséphone et non l’inverse. Comme elle, d’ailleurs, Hadès a une fonction positive : il est Plutôn, « Celui qui enrichit » et Eubouleus « le Bon conseiller », de la même façon que Perséphone est dispensatrice de richesses autant que déesse régnant sur les morts. Et dans le couple infernale, Perséphone est clairement associée à la Terre, cette terre qui est partie du cosmos, cette terre qui apporte la fécondité et la vie, cette terre, enfin, qui recueille les corps en un cycle parfait et naturel. De fait, Perséphone apparaît comme la seule vraie divinité des Enfers, ce qui expliquerait le peu de place accordée au frère de Zeus dans la mythologie. Hadès finit d’ailleurs par n’être qu’une divinité invisible, un état expliqué dans la mythologie grecque par le Kunéê, la casque qui rend invisible et que lui auraient offert les cyclopes avant le combat contre les Titans. Hadès, un dieu invisible parce qu’il ne serait jamais que l’incarnation tardive du monde dans lequel il vit, c’est-à-dire les Enfers.
    source historia nostra

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