Trance , nirvana , Nibbana

 Trance

Un individu dans une trance semble être dans une condition semblable au sommeil qui est d'habitude accompagnée par une indifférence envers son environnement objectif et une amnésie à ce qui arrive pendant la période qu'il est dans cet état. La trance a une utilisation plus populaire qu'une désignation scientifique. Il peut décrire un état stupéfiant résultant de prises drogues, parfois la maladie, la contemplation prolongée, ou dans d'autres états.
Les mystiques peuvent inciter des trances, ou les états changés de conscience, en prenant part à un jeun, se positionnant dans des positions physiques tendues et de la concentration intense. Ils deviennent inconscients de leurs environnements physiques incluant tous les malaise physiques qu'ils peuvent éprouver. Au lieu de cela ils éprouvent des révélations profondément émotionnelles ou des aventures aux significations intellectuelles.
Quand la trance  est utilisée dans le Néo-paganisme, comme la "sorcellerie" et le chamanisme elle se réfère d'habitude aux états changés de conscience.



Le nirvana

Nirvana, dans l'Hindouisme, est l'union avec le Suprême Brahman (Dieu) par moksa, la sortie du cycle de naissance et la mort aussi bien que la douleur, et subissant la douleur dans la condition humaine de vie. Le nirvana est l'expérience immédiate  avec Brahman . Le Bhagavad-Gita a une des expositions les plus claires de nirvana, l'appelant le Brahma-nirvana, c'est-à-dire l'union avec Brahman, ou l'extinction (de l'ego) en Lui. L'obtention de Gita est par la pratique de yoga (la joie, la paix, la vision tournée vers l'intérieur), par lequel on peut "venir à Brahman et connaître le nirvana."

La vue de Bouddhiste de ce terme est différente,ils l'appelent Nibbana

Nibbana

Nibbana (Pali, du nirvana Sanscrit) est un terme de Bouddhiste, qui diffère du nirvana hindou. Tandis que certains Bouddhistes interprètent nibbana dans une façon semblable comme des Hindous, c'est-à-dire "éteindre" ou "l'extinction" , d'autres y trouvent une signification archaïque , comme "rafraîchir de la fièvre" d'avidité, la haine et l'illusion. Bouddha a explicitement refusé l'interprétation Occidentale du terme comme l'extinction complète ou l'annihilation. Cependant, tandis que nibbana ne signifie pas d'extinction, il ne signifie qu'après la mort l'individu existe dans une certaine façon ou d'autre. Quand le corps cesse de fonctionner, la personnalité  disparaît.

Le bouddhisme refuse l'existence d'une âme à tout moment, ou après la mort. Au troisième siècle av. J.-C, un texte indien déclare que nibbana "est vraiment seulement la réalisation intérieure des impressions stockées" Nibbana est un état qui peut être compris  ici et maintenant aussi bien qu'après la mort. Au troisième siècle av. J.-C, le Milindapanha déclare que Bouddha existe toujours mais "a passé complètement loin dans nibbana".

Et alors il ne peut pas être désigné comme étant ici ou là. Plus tard dans le même travail, probablement dans une main différente, le nibbana est décrit comme" la Ville de Justice. "Ici l'homme est libéré" entre à la ville glorieuse de Nibbana, inoxydable et non souillée, pur et blanc, le non vieillissement, immortelle, sûr et calme et heureux et son esprit est émancipé comme étant un parfait . "