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Des mots , des poèmes , les passions par les mots et les images ..... "L'important n est pas de savoir si une voix détient la vérité , l important est que cette voix chante à notre ame ."

Arbre à poèmes

Cet espace est pour vous.Vous voulez déposer vos poèmes n'hésitaient pas, envoyaient les moi sur Princessedenuit@hotmail.com car je vais changer de serveur surement pour janvier où alors laissez les en commentaires et je les éditerai .Vous pouvez même mettre des poèmes d'auteurs que vous aimez ainsi que l'adresse de vos blogs si vous en avez .De l'arbre à poèmes Phil et moi même nous avons eu l'idée de faire un arbre à palabres , en attendant que ce projet se mette en place nous cherchons un chat en live pour le mettre sur le blog , cet espace sera également pour vous .

Bises à vs ts et ttes.

Sab

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La Loreley

À Bacharach il y avait une sorcière blonde
Qui laissait mourir d'amour tous les hommes à la ronde
Devant son tribunal l'évêque la fit citer
D'avance il l'absolvit à cause de sa beauté

Ô belle Loreley aux yeux pleins de pierreries
De quel magicien tiens-tu ta sorcelerie
Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits
Ceux qui m'ont regardée évêque en ont péri

Mes yeux ce sont des flammes et non des pierreries
Jetez jetez aux flammes cette sorcellerie
Je flambe dans ces flammes ô belle Loreley
Qu'un autre te condamne tu m'as ensorcelé

Evêque vous riez Priez plutôt pour moi la Vierge
Faites-moi donc mourir et que Dieu vous protège
Mon amant est parti pour un pays lointain
Faites-moi donc mourir puisque je n'aime rien

Mon coeur me fait si mal il faut bien que je meure
Si je me regardais il faudrait que j'en meure
Mon coeur me fait si mal depuis qu'il n'est plus là
Mon coeur me fit si mal du jour où il s'en alla

L'évêque fit venir trois chevaliers avec leurs lances
Menez jusqu'au couvent cette femme en démence
Vat-en Lore en folie va Lore aux yeux tremblant
Tu seras une nonne vétue de noir et blanc

Puis ils s'en allèrent sur la route tous les quatre
la Loreley les implorait et ses yeux brillaient comme des astres
Chevaliers laissez-moi monter sur ce rocher si haut
Pour voir une fois encore mon beau château

Pour me mirer une fois encore dans le feuve
Puis j'irai au couvent des vierges et des veuves

Là haut le vent tordait ses cheveux déroulés
Les chevaliers criaient Loreley Loreley
Tout là bas sur le Rhin s'en vient une nacelle
Et mon amant s'y tient il m'a vue il m'appelle

Mon coeur devient si doux c'est mon amant qui vient
Elle se penche alors et tombe dans le Rhin
Pour avoir vu dans l'eau la belle Loreley
Ses yeux couleur du Rhin ses cheveux de soleil

De Guillaume Apollinaire envoyé par Mado

La Loreley ou Lorelei était une fée aussi :Berchta, Lorelei,La Maja et Margot


~~ Poème de ma creation ~~

Seule dans cette beauté sombre
Le vent me berce
Malgré ma robe blanche
Je n'ai pas l'air d'un ange

Je ne vole pas assez haut pour rejoindre le paradis
Je ne cris pas assez fort pour qu'ont vienne me cherché

La rivière de tristesse
Qui coule le long de ma joue est sans fin
C'est toujours le même refrain

A travers les nuages
J'ai un jour vu ton visage
Tu es le plus sage des anges
Un jour je serais arraché de ce corps de chair
Pour rejoindre ton monde
Loin de cette terre immonde

Helendra
~~~~~~~~

Je me suis allongé
Fatigué par tout vos péché
Cette endroit mes familier
C'est la que mes amours passé
Repose en paix

Serais-je la prochaine ?
Les chaînes de la vie me retiennent
Même si mes tristes souvenirs me hante
Je ne serais plus votre amante

La femme maudite que je suis
Est une malédiction pour l'amour
Mon baisé est empoisonné
Maintenant je le sais

Helendra.

~~~~~~~~

son blog:Blog de helendra - ~~ Bienvenue dans le monde d'Helendra ~~ - Skyrock.com


"Un billet doux"

Quelques notes de musique posées
Sur les pages rosées de ton visage
Et toi mon amie,petite fleur,tu deviens
Une fée au parfum enchanteur
Dans le concert de l'amitié

Alex

Un ami passionné de beaux mots et écrivain de trés trés jolis poèmes voici ces blog:L'union des mots et des images alex passion mots images musique


Chanson que Alex m'a permis de recopier sur cette rubrique , merci Alex

La nuit des gitans

Elle nous berce dans nos rêves
Sous la pluie d'étoiles scintillantes
Quand nos unions  ne sont pas que des brèves
Bien au chaud, se collent nos lèvres pétillantes

Refrain :La nuit, la nuit, la nuit
Elle nous porte vers les rêves
La , nuit ,la nuit , la nuit
Elle n'est jamais en trèves

Elle nous gâte d'images innées
Sous sa voûte sans aucun faux pli
Quand nos fibres vibrent passionnées
Bien sous nos couettes du bonheur accompli

Refrain: La nuit...

Elle mire Les Sainte-Maries de la Mer
Sous ses halos où flambent les oraisons
Quant à Beaugency raisonnent ces coeurs de mer
Bien à vous , les gitans d'égayer les prisons

Refrain:La nuit...

Elle destine à l'amour virtuel
Sous l'étoffe du matin qui l'embrume
Quand nos yeux s'ouvrent sur le réel
Bien en peine, ces rêves se perdent dans la brume

Refrain :La nuit

Paroles d'une chanson de Alex Pillet
Bisous l'Ami :-)
son site :
L'union des mots et des images

Petit cadeau pr toi Alex 

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Contente de ta participation Geneviève , tu écris trés bien et tes poèmes sont trés beaux

Les fées

Dans un vol gracieux
Elles dessinent sur l'eau des arabesques légères.
Elles interprettent un ballet merveilleux
Aux milles couleurs qui ravissent les yeux.
Virevoltant à fleur d'eau
Dans un murmure,un souffle d'air....
Comme le voile léger d'une mariée.
Il est bon de se laisser emporter
De suivre leurs vols,de se laisser capturer...
Merveilleuses fées sorties de mon imagination....
Peu importe l'age,nos émotions
Vous représenterez à jamais
Le monde magique de nos jeunes années.

Poème de Geneviève 

Son site :Unpeudebonheur

Bisous Geneviève et merci

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U
Tres bonne id?ton arbre ?oeme..........je t'en donne un, que j'ai ecris il y a qqs temps......... je manque de temps pour en ecrire un juste pour ton arbre, mais des que tout se sera calme autour de moi, je le ferai avec joie............Les f?Dans un vol gracieuxElles dessinent sur l'eaudes arbesques legeres.Elles interprettent un ballet merveilleuxAux milles couleurs qui ravissent les yeux.Virevoltant ?fleur d'eau,Dans un murmure, un souffle d'air....Comme le voile leger d'une mari?Il est bon de se laisser emporterDe suivre leurs vols, de se laisser capturer...Merveilleuses f? sorties de mon imagination....Peu importe l'age, nos emotionsVous representerez ?amaisLe monde magique de nos jeunes ann?.Genevieve
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V
Princesse je t'offres ces 4 po?s de 2 auteurs que j'aime ?es relire :) Bisous...Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les forces) L'?rnel f?ninLa montagne portait sa robe d'or bruni, Or fragile tombant, feuille ?euille, des branches, Dans le chemin, parmi la foule du dimanche, Sur les sentiers ombreux et le gazon terni.Repos?de leur course ?ravers l'infini, Et doux, comme l'?i d'une ? qui s'?nche, Les rayons du soleil d'octobre, en nappes blanches Sur le sol d? froid, versaientt un feu b?.Ce ne fut que le soir, en soufflant ma veilleuse,Que me vint nettement l'inage glorieuseDans ses mille d?ils ternes et rutilants.J'avais distraitement vu les choses agrestes, Trop attentif ?uivre ou deviner les gestesD'une fille aux yeux noirs qui ramassait des glands. Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les alternances) ?ocationLe noir espace, beau pour une occulte f?,A, pour moi, recueilli la vie et la r?teEn des formes qu'agite un frisson d'oc?.Dans cette irruption d'images se cr?t,Peu ?eu se dessine une ?rme cohueQui se d?ne, lutte et vers l'argent se rue,Pour garder plus longtemps, sous le ciel angoiss?<br /> Le don prodigieux de vivre et de penser.Puis cette multitude, aux gestes fr?tiquesSi divers et pourtant par leur but identiques,S'ordonne et repr?nte une autre humanit?Grande d'incertitude et de complexit?L'humanit?ui veut - gourmande insatiable -Joindre aux plaisirs des sens ceux de l'?, ?a table,Et, ne pouvant jamais sonder toute sa nuit,S'effare du cloaque affreux o? conduitL'attachement ?a mati? cajoleuse ;L'humanit?avie ?a fois et peureuseD'ouvrir ?ous les vents prometteurs son cerveau,Et qui, tenace en son espoir aveugl?nt, sans tr?,Entre les deux n?ts de la Terre et du R?.Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) L'alchimisteRien encore ! - Et vainement ai-je feuillet?endant trois jours et trois nuits, aux blafardes lueursde la lampe, les livres herm?ques de Raymond-Lulle !Non rien, si ce n'est avec le sifflement de la cornue ?ncelante, les rires moqueurs d'un salamandre qui se fait un jeu de troubler mes m?tations.Tant?l attache un p?rd ?n poil de ma barbe, tant?l me d?che de son arbal? un trait de feu dans mon manteau.Ou bien fourbit-il son armure, c'est alors la cendre du fourneau qu'il soude sur les pages de mon formulaire et sur l'encre de mon ?itoire.Et la cornue, toujours plus ?ncelante, siffle le m? air que le diable, quand Saint Eloy lui tenailla le nez dans sa forge.Mais rien encore ! - Et pendant trois autres jours et trois autres nuits, je feuilletterai, aux blafardes lueurs de la lampe, les livres herm?ques de Raymond-Lulle !Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit)Ondine- " Ecoute ! - Ecoute ! - C'est moi, c'est Ondine qui fr?de ces gouttes d'eau les losanges sonores de ta fen?e illumin?par les mornes rayons de la lune ; et voici, en robe de moire, la dame ch?laine quicontemple ?on balcon la belle nuit ?il?et le beaulac endormi." Chaque flot est un ondin qui nage dans le courant, chaque courant est un sentier qui serpente vers mon palais,et mon palais est b? fluide, au fond du lac, dans le triangle du feu, de la terre et de l'air." Ecoute ! - Ecoute ! - Mon p? bat l'eau coassante d'une branche d'aulne verte, et mes soeurs caressent de leurs bras d'?me les fra?es ?s d'herbes, de n?-phars et de gla?ls, ou se moquent du saule caduc et barbu qui p?e ?a ligne ! "*Sa chanson murmur? elle me supplia de recevoir son anneau ?on doigt pour ?e l'?ux d'une Ondine, et de visiter avec elle son palais pour ?e le roi des lacs.Et comme je lui r?ndais que j'aimais une mortelle, boudeuse et d?t? elle pleura quelques larmes, poussa un ?at de rire, et s'?nouit en giboul? qui ruisse-l?nt blanches le long de mes vitraux bleus. En souhaitant qu'ils te plairont...
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P
l'amiti?stun joyau dont le coeur est l'?in.po? tr?court d'un anonyme..amicalement..Alexmon autre blog:http://motsetimages.oldiblog.com
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P
Que ces cr?ions sont magnifiques , l'envie de t'offrir ?on tour un po?, un peu d'amiti?d'amour , de tendresse tout simplement par ces petits mots : " un billet doux "Quelques notes de musique pos? Sur les pages ros? de ton visageEt toi mon amie, petite fleur, tu deviensUne f?au parfum enchanteurDans le concert de l' amiti?Alex
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V
Kikoo Sab ca fait plaisir que tu passes sur ton blog! J'esp? que tu va bien et que les tiens se portent un peu mieux!! Bonne id?cet arbre ?o?s maisssssss je ne suis pas po? alors je met ce po? de Guillaume Apollinaire.Je te l'offre.La LoreleyA Bacharach il y avait une sorci? blonde Qui laissait mourir d'amour tous les hommes ?a ronde Devant son tribunal l'?que la fit citer D'avance il l'absolvit ?ause de sa beaut?<br /> O belle Loreley aux yeux pleins de pierreries De quel magicien tiens-tu ta sorcellerie Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits Ceux qui m'ont regard??que en ont p? Mes yeux ce sont des flammes et non des pierreries Jetez jetez aux flammes cette sorcellerie Je flambe dans ces flammes ?belle Loreley Qu'un autre te condamne tu m'as ensorcel?<br /> Ev?e vous riez Priez plut?our moi la Vierge Faites-moi donc mourir et que Dieu vous prot? Mon amant est parti pour un pays lointain Faites-moi donc mourir puisque je n'aime rien Mon coeur me fait si mal il faut bien que je meure Si je me regardais il faudrait que j'en meure Mon coeur me fait si mal depuis qu'il n'est plus l?<br /> Mon coeur me fit si mal du jour o? s'en alla L'?que fit venir trois chevaliers avec leurs lances Menez jusqu'au couvent cette femme en d?nce Va t'en Lore en folie va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne v?e de noir et blanc Puis ils s'en all?nt sur la route tous les quatre La Loreley les implorait et ses yeux brillaient comme des astres Chevaliers laissez-moi monter sur ce rocher si haut Pour voir une fois encore mon beau ch?au Pour me mirer une fois encore dans le fleuve Puis j'irai au couvent des vierges et des veuves L?aut le vent tordait ses cheveux d?ul?Les chevaliers criaient Loreley Loreley Tout l?as sur le Rhin s'en vient une nacelle Et mon amant s'y tient il m'a vue il m'appelle Mon coeur devient si doux c'est mon amant qui vient Elle se penche alors et tombe dans le Rhin Pour avoir vu dans l'eau la belle Loreley Ses yeux couleur du Rhin ses cheveux de soleil.Guillaume Apollinaire (1880 - 1918)Gros bisous Mado
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