• Quand l'heure sera venue de voir à travers les brumes,
    Lire la conjuration complete,pour que la force la plus ancienne réapparaisse.. .
    Celle de la force du dragon , qui souffle sans relache ,
    Pour nous montrer l'âge d'or
    Et nous guider dans l' aube nouvelle .
    De l'endroit de ton repos ,des entrailles de la terre, indique nous la sagesse , la clef cosmique aux enfants de cette tribu sacrée.
    Les neufs jointures brisées, elles ont libéré la connaissance cachée.
    Le dragon est maintenant libéré
    Reprend ce monde mortel, la sagesse antique et les liens sacrés.
    Le monde est devenu un chaos , plaie béante sans magie....


    Sage des temps antiques, entends nos appels, toi qui a la connaissance infinie .
    Libére tous les esprits des fées,fait nous revenir ces héros en perditions
    et ces preux chevaliers.
    Lâche le désespoir et laisse pleuvoir des sphères de feu sur ces hommes sans foi. Laisse la force la plus ancienne réapparaître et nous embrasser avec sa connaissance et sa sagesse.
    Le portail ouvert laisse les hordes sauvages courir à leurs grés pour héradiquer ce mal qui c'est propagé.

    Quand une nuit aux nuances de rouge,
    Une épée apparaîtra dans le ciel, un signal d'une épée vengeresse,
    Elle surgira et flottera comme la brume,
    De ces endroits désolés,dans ce silence  après l'accomplissement de ces batailles spirituelles, 
    Les frontières  cassées et le portail du bien  ouvert,
    le roi se réveillera de son assoupissement dans ces brumes,
    et réclamera son trône légitime une fois de plus.

    Sab
    Arthur and the Faeries

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    @@@300@@@300[/fichier]


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  • Photo AOL PagesPerso

    Avez-vous entendu la harpe de Merlin
    Egrener lentement ses accords cristallins
    A travers les forêts de la vieille Celtide ?
    Des bords ombreux du Rhin jusqu'aux Cassitérides,
    La brise en frémissant redit le nom d'Arthur...
    Un chant d'espoir émeut les rives de la Clyde :
    Voici venir les temps prédits par Peredur !

                                                 


    Oublieux descendants des Celtes intrépides,
    Avez-vous entendu la harpe de Merlin,
    Des cols de l'Helvétie aux confins des Hébrides,
    Résonner doucement par ce frileux matin ?
    C'est assez et c'est trop de luttes fratricides,
    Fils de la vieille race ardente, aux yeux d'azur !
    C'est assez et c'est trop de tous vos mauvais guides ! 
    Voici venir les temps prédits par Peredur :
    Un chant d'espoir résonne à travers la Celtide !
    Avez-vous entendu la harpe de Merlin
    Résonner doucement par ce frileux matin,
    Des sylves d'Hercynie aux vallons de la Clyde ?
    Debout ! fils des vaillants qui firent la Celtide !
    Voici venir les temps prédits par Peredur :
    J'entends, dans le vent frais, siffler Excalibur !

    http://gnack.com/pix/Paint/mathews-excalibur.jpg



  • MERLIN L’ENCHANTEUR




    MERLIN L’ENCHANTEUR OU DU DRUIDEMYRDDIN
    LES ORIGINES DE LA LÉGENDE : LES DRUIDES CELTIQUES
    '


    D’où nous vient le nom de Merlin? Voyons un peu celui qui est venu en premier. Sous sa forme la plus connue de nous, « Merlin » a été utilisé pour la première fois par Geoffroy de Monmouth dans la Vita Merlini sous sa forme latine « Merlinus ». Avant Geoffroy, les noms Merddin et Myrddin étaient utilisés. En gallois, la prononciation du nom Myrddin est très différente qu’en latin. Le Y en gallois se prononce EU et le DD se prononce Z, cela donne donc Meurzinn. On peut aussi dire que le nom de Merlin lui vient du mot Merilun qui donnera le mot Merlin au XIIe siècle en Grande-Bretagne. Ce mot n’est pas associé à Merlin l’enchanteur. Il signifie « émerillon », qui s’avère être une variété de faucons très populaire à l’époque de la chasse chez les nobles Anglais. On pourrait aussi associer le nom de Merlin à l’oiseau qu’est le merle. Le personnage a en effet plusieurs caractéristiques de l’oiseau puisqu’il chante ses prophéties et joue des tours aux gens. Il faut aussi dire que l’oiseau a une place très importante dans le druidisme et il est pratiquement l’animal le plus important des forêts de l’époque druidique. Mais le nom de Merlin ne viendrait pas de cet oiseau. On sait que le nom de Merlin n’a pas été la forme première du nom de l’enchanteur. Son nom a été changé au environ du IXe et aussi du XIIe siècle, puisqu’il est passé de Lailoken-Llallogan à Myrddin à Merlin.



    LES PREMIERS RÉCITS : LE MERLIN D’HIER


    La légende de Merlin en est une qui est très compliqué à comprendre. Lorsque nous étions petit, nous avons tous, ou presque, entendu l’histoire de Merlin en compte pour enfant ou par le billet de dessin animé à la télévision. Mais, est-ce vraiment là la réelle histoire de cet enchanteur qui l’est devenu avec l’évolution de sa légende?

    En fait, on ne sait pas vraiment si Merlin a vraiment existé. Certains scribes de l’époque médiévale disent que oui et les historiens de notre époque disent que non. Malheureusement, nous ne pouvons prouver sa réelle existence puisque certaines sources manuscrites de l’époque, qui ont servit à écrire la première histoire de Merlin ou plutôt de « L’Homme des bois », ont été détruites .Pas de preuves ou peu , donc ce qui prouverait quand même l'existance de Merlin à cet époque. Il est donc difficile d’établir la véracité de la légende et ce qui a été enjolivé ou même carrément ajouté par la fantaisie de l’auteur.



    DE L'HOMME DES BOIS À MERLIN L'ENCHANTEUR:


    Il est très difficile de trouver des sources qui traitent de l’histoire de Merlin. La plupart des livres où Merlin est présent parlent aussi d’Arthur et des chevaliers de la Table Ronde. Or, l’histoire du personnage qu’est Merlin n’a, au tout début de sa création, rien à voir avec les légendes arthuriennes. Les premiers textes à apparaître sur Merlin datent du XII ième siècle au XVI ième siècle. Les sources utilisées pour ces récits de la vie de l’homme qu’est Merlin datent de beaucoup plus longtemps. Selon certaines de ces sources, Merlinus Ambroisius aurait réellement existé et serait même de descendance royale, car fils de fille de Roi.

    On dit aussi que la mère de Merlin aurait été connue par le démon pour qu’elle enfante un antéchrist. Mais, sa mère , étant une religieuse, donna naissance à un garçon au pouvoir incroyable mais sans aucune forme de malice. Les différentes histoires de Merlin, qui ont été écrites à cette époque, démontrent bien le christianisme montant de l’époque médiévale. La légende elle même proviendrait directement de l’Antiquité mais aurait été transformé par les scribs chrétiens influencés par la religion.



    En plus de l'influence chrétienne, la légende de Merlin aurait subit les influences de la nouvelle mentalité de l'époque puisque les différents personnages des récits changent de fonctions et de rôle à mesure que les histoires s’écrivent dans un temps plus près du nôtre. La femme, par exemple, deviendra une sorcière au venin empoisonné, qui ne laisse aucune chance aux hommes, incluant Merlin lui-même.

    Merlin n’est pas un cas isolé dans le grand déferlement des légendes surgi du Moyen Âge. À vrai dire, il n’appartient à aucun temps, à aucune époque, si l’on s’en tient à sa figure légendaire.

    Merlin : enchanteur, prophète, fou du bois, homme sauvage, maître des animaux, sage; il est revenu à l’état premier de l’homme; l’état qui le rapprochait de la nature et de sa pureté; retour à la perfection de l’Âge d’Or ou de l’Éden biblique (Moyen Âge considéré comme les temps noire)
    L’image même de Merlin transpire la conception du monde de chacune des époques qui l’a raconté: « …, dans notre civilisation industrielle, tout entière bâtie sur la logique, sur la science et sur le profit, dans notre civilisation urbaine complètement coupée des racines essentielles qui ont pourtant fait l’humanité, nous ne savons plus écouter la Nature. C’est sans doute parce que nous ne comprenons plus son langage.

     


  • Merlin devin

    Merlin était à la fois aimé et craint dans les deux Bretagnes. Aimé parce qu'à sa manière parfois étrange il n'avait jamais fait que le bien. Craint parce qu'il savait tant de choses, et qu'il pouvait lire dans les esprits les secrets les mieux gardés.
    Voyant un jour la reine entrer dans la grande salle de palais, belle et bien parée, mais avec une feuille de saule dans les cheveux, il retira la feuille en éclatant de rire. La reine comprit qu'il avait percé le secret de ses rencontres au bord de la rivière avec un bel écuyer. Craignant qu'il ne révèle son secret au roi son époux, elle résolut de prouver à tous que le devin n'était qu'un imposteur
    Appelant un de ses pages, fort gracieux et doté d'un joli visage, elle lui demanda de se présenter à trois reprises devant le Roi en présence de Merlin. Le jeune homme devait à chacun de ses passages offrir une apparence totalement différente.
    Il entra d'abord sous son propre, puis quelques instants plus tard sous les traits d'une vieille femme drapée dans des vêtements sombres, enfin paré comme une jeune fille.
    A trois reprises, devant le roi et la cour, la reine demande à Merlin comment mourrait cette vieille femme qui venait d'entrer, cette jeune fille qui passait, ou ce charmant jeune page. Après un rapide coup d'œil à chacun, Merlin répondit que la vieille femme mourrait noyée, la jeune fille transpercée par une branche d'arbre, et que le jeune homme périrait d'une chute de cheval.
    La reine triompha devant son époux : Comment pouvait-il accorder sa confiance à un tel charlatan, capable de se laisser prendre aux ruses les plus grossières ?
    Merlin entendait les rumeurs et se taisait, en souriant calmement. A quelque temps de là, le page passa à cheval sur un pont. Sa monture prit peur et fit un écart. Le jeune homme bascula par-dessus le parapet. La rivière avait charrié un arbre mort sur lequel il se transperça la poitrine et, la branche ayant cassé sous son poids, sa chute mortelle se termina au plus profond de l'eau.





    Le brai de Merlin


    Lorsque Merlin se réveilla prisonnier de Viviane et des neuf cercles magiques qu'elle avait tracés autour de lui, il savait que personne ne pourrait dénouer cet enchantement. Il fit donc jurer à sa bien-aimée de ne jamais le quitter, ce qu'elle s'empressa de lui promettre. Et ils commencèrent à vivre heureux en forêt de Brocéliande. Mais parfois la nostalgie de sa liberté et le regret du temps de la Table Ronde emplissaient si fort l'âme de Merlin qu'il ne pouvait s'empêcher de gémir.
    Le premier à l'entendre se plaindre ainsi fut Gauvain, le neveu du roi Arthur, qui avait été chargé par son oncle de retrouver l'Enchanteur disparu.
    Aujourd'hui encore, au soir de certaines chaudes journées, lorsque le vent se lève et refroidit d'un coup la forêt de Brocéliande, on peut entendre comme un cri étrange, longue plainte modulée, qui se répète et que les vallons répercutent.
    Pour les gens du pays, pas de doute : à l'évidence ce sont les pleurs de l'Enchanteur qui résonnent ainsi sur la forêt. Il appelle dans l'espoir d'apprendre un jour la merveilleuse nouvelle du retour du roi Arthur.

    Voilà pourquoi cette lamentation a été baptisée le brai de Merlin. 


     


  • Merlin

    Connu sous les noms de « Myrddin » ou « Myrdhin » en gallois , «Merzhin » ou « Marzhin » en breton  , Merlin est un personnage de la mythologie celtique mais je dirais aussi un personnage historique de l'histoire des celtes , et plus particulièrement de la branche brittonique, soit la Bretagne continentale et la Grande-Bretagne sauf l'Écosse. En France, son nom est systématiquement associé à sa fonction d' « enchanteur », c'est-à-dire de magicien.

    Selon la "légende"

    Son rôle dans le cycle Arthurien est d'aider à l'accomplissement du destin du royaume de Bretagne (royaume mythique regroupant l'actuelle Angleterre, le Pays de Galles et la Bretagne continentale). Grâce à une sagesse légendaire, il devient l'ami et le conseiller du roi Uther Pendragon . À la mort de celui-ci, il organise le défi de l'épée Excalibur qui permet a Arthur , fils illégitime d'Uther, de succéder à son père. Puis il incite Arthur à instituer la table ronde  afin que les chevaliers qui la constituent puissent se lancer dans des missions relevant du mythe , notamment la fameuse quête du Graal
    .
    À la fin de sa vie et malgré toutes ses connaissances, Merlin ne pourra rien contre la destinée du royaume de Bretagne et la fin tragique du roi Arthur.
    La légende de Merlin n'est pas à l'origine intégrée dans le cycle arthurien. Le personnage sera en quelque sorte « christianisé » par la suite pour pouvoir y figurer, mais on peut y reconnaître l'archétype du druide du : proximité avec la nature, pouvoirs magiques, connaissance surnaturelle, sagesse, longue vie, rôle de guide et de conseiller des puissants. Dans un monde chrétien alors en pleine essor, il représentait ce qui restait de la tradition ancienne: le monde druidique moribond.

    La fin de Merlin

    Devin et magicien, Merlin étant selon la légende éperdument amoureux de la fée Viviane  , il lui confia le secret de se lier un homme à jamais. La fée Viviane entreprit donc de réaliser cette magie, traçant les "neuf cercles d'argent " autour de Merlin endormi. La magie étant puissante, Merlin fut enfermé pour l'éternité dans sa geole, au grand regret de la fée Viviane qui ne croyait pas que la chose fut possible.


    recherches  historiques sur Norma Lorre goodrich

    Norma Lorre Goodrich fournit une analyse merveilleuse du caractère historique de MERLIN par l'objectif rompu du temps, de la légende, et de la mythologie. Elle commence en présentant les divers noms de MERLIN, y compris Myrddin Emrys et MERLIN Sylvester et les autres noms qui lui ont été attribué. MERLIN est vu comme un caractère qui change son nom selon sa fonction, qui explique pourquoi il a été vu parfois en tant que vieux mendiant, un guerrier, même un prêtre, magicien etc etc.

    La partie la plus intéressante de l'écriture de Norma lorre Goodrich est probablement qu'elle aligne Myrddin Emrys, MERLIN le vrai que nous connaissons  qui à aidé Arthur, comme Saint Dubricius. On l'a constaté que pendant les temps Saint que Dubricius était en avant dans l'histoire d'Arthurian soit quand MERLIN était absent, en particulier le couronnement de Arthur. Et quand MERLIN était le plus en avant dans la saga d'Arthurian, Saint Dubricius est absent. Non seulement ce, mais les détails uniques de la naissance et l'élevage de peu de MERLIN sont trop semblables lointain à celui de Saint Dubricuis.

    Un point principal que je dois être en désaccord avec Goodrich est allumé son affirmation que la classe de druide ont été annihilées par le Romans suivant la conquête romaine. Cette sorte de propagande est trouvée parmi des disciples hostiles à la culture celtique. Ce ne doit pas dire que Goodrich est hostile à la culture celtique ; il y a beaucoup dans MERLIN qui suggère autrement. Son point sur les druides est critique dans son argument, car il suggère que MERLIN n'ait pas été un druid/bard, mais plutôt un prophète dans la tradition hébreue. Puisque je crois que la classe de druide était vivante et bien pendant le temps de MERLIN, et qu'il a été soutenu dans une famille ecclésiastique, il est probable que sien apprenant ait été de l'école druidic, et qu'il lui-même était un druide. Le fait que beaucoup de druides ont eu une fonction tandem dans l'église donnerait la probabilité que les fonctions de MERLIN étaient celle d'un druide contemporain.







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