• King Arthur Pictures, Images and Photos

    Je trouve qu'il est bon de savoir ttes les histoires sur ce roi légendaire, quoi que certaines paroles ditent sur Arthur ne plaisent pas beaucoup mais bon ....

     

    Lady in the Lake Pictures, Images and Photos


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  • En quête du roi Arthur

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    Saint-Malo-de-Beignon prés de Brocéliande

    Comme j'ai passé un séjour ds ce camping trés agréable, calme et convivial , j'ai voulu faire un clin d'oeil a ce camping et aux patrons surtout qui sont trés trés acceuillants et d'une gentillesse extra!Et dire merci à Nono de m'avoir passé l'adresse de ce camping ;-).
    Voilà je vais vous présenter un peu l'histoire de Saint-Malo de Beignon en attendant que je vous mettes toutes les photos de Brocéliande sur le blog.

    Beignon en Breton qui signifie "source" et Aleth en Etymologie Grecque : ALETHEIA, "la vérité", "Source de la Vérité "c'est joli et trés interressant à approfondir non ? 

     Saint-Malo-de-Beignon est une commune française, située dans le département du Morbihan et la région Bretagne.


    ETYMOLOGIE et HISTOIRE de SAINT-MALO-DE-BEIGNON 

    Saint-Malo-de-Beignon fait référence aux évêques de Saint-Malo qui possèdent une résidence d'été sur ce territoire. 
    Saint-Malo-de-Beignon est, semble-t-il, un démembrement de la paroisse primitive de Guer. Fondé dès le VIIème siècle, Saint-Malo, appelé autrefois Aleth, est d'abord un simple village rattaché à Beignon. Le roi Salomon de Bretagne la donne à Ratwilis, évêque d'Aleth, actuel Saint-Malo. Les évêques y font construire dès 1062 leur résidence d'été et un séminaire.
    Il existe à Saint-Malo-de-Beignon un manoir épiscopal, centre d'un fief temporel ou régaire. L'évêque de Saint-Malo porte alors le titre de baron de Beignon, comte de Saint-Malo. Ce franc régaire se composait, selon un aveu de 1682 : "1° de la ville et paroisse de Saint-Malo-de-Beignon en entier, avec patronage et supériorité d'église, avec quelques rentes en deniers, et à devoir de faner et charroyer les foins des prairies de la seigneurie ; 2° du bourg et de la paroisse de Saint-Pierre-de-Beignon, en leur entier et sans exception, n'y ayant pas un pouce de fief d'autre seigneurie, avec également patronage et supériorité d'église ; à devoir de rentes en deniers et avoines, comme minée, gallinée, crublée, devoir de fumage, charrois généraux et sepminaux, quintaine ou bouhours, dîmes à la douziesme, et droits de sergentise".
    On avait édifié auprès du manoir épiscopal un collège qui a subsisté jusqu'à la Révolution. De nombreuses maisons étaient autrefois occupées par les délégués de la juridiction seigneuriale des évêques et par les écoliers qui venaient étudier à Saint Malo de Beignon. Saint-Malo-de-Beignon reste la propriété des évêques jusqu'à la Révolution.

    Arthur 1er

    Note : c'est à Saint-Malo-de-Beignon, vers 1180,( pendant la captivité de sa mère, la duchesse Constance ),  que fut reconnu le jeune duc Arthur Ier par une réunion de seigneurs (André de Vitré, Guyomar et Hervé, seigneurs de Léon, Alain de Rohan, Guillaume de Loheac, Péan de Malestroit, Henri Salmon et Hervé Hagommar), pendant la captivité de sa mère, la duchesse Constance. C'est aussi à Saint-Malo-de-Beignon que, en 1843, M. le duc de Nemours fixa sa résidence pendant son séjour au camp de manoeuvres de Thélin, dont il avait le commandement supérieur.

    Arthur Ier de Bretagne (30 avril 1187 – 3 avril 1203).
     Il était le fils posthume de Geoffroy Plantagenêt et de la duchesse Constance de Bretagne. Ce prénom, alors inusité dans sa famille, fut choisi par sa mère, sans doute en signe de défi.
    En 1196, il fut proclamé duc de Bretagne par les grands aristocrates de Bretagne. Il fut aussi comte de Richmond de 1201 à 1203.

    Constance de Bretagne ( mère de Arthur 1er)  (vers 1161 – septembre 1201), fut duchesse de Bretagne à partir de 1166, et comtesse de Richmond à partir de 1171.
    Elle était la fille de Conan IV de Bretagne et de Marguerite, fille d'Henry de Northumberland, prince d'Écosse, comte de Northumberland et d'Huntingdon, et sœur des rois d'Écosse Malcolm IV et Guillaume le Lion.
    En 1166, son père abdique en sa faveur et elle devient duchesse de Bretagne, alors que la réalité du pouvoir est dans les mains d'Henri II d'Angleterre.
     
    Conan IV le Petit (père de Constance de Bretagne)

    (vers 1138 – 20 février 1171) fut duc de Bretagne (1156-1166) et comte de Richmond (1146-1171 ).
    Il était le fils d'Alain le Noir, comte de Guingamp et de Richmond, et de la duchesse Berthe de Bretagne, la fille du duc Conan III de Bretagne.

     Alain de Bretagne ou Alain le Noir et parfois Alain de Penthièvre ou Alain III le Noir ( fils de Conan IV et grand-père de Constance de Bretagne )(vers 1107 – 15 septembre 1146), probablement seigneur de Guingamp, fut le premier à porter officiellement le titre de comte de Richmond, bien que ses ancêtres fussent déjà des seigneurs de Richmond. Il fut aussi comte de Cornwall (Cornouailles) de 1140 à 1141.

    En cherchant cette descendance enfin pas toute car elle est trés longue , on pt voir qu'il y a Cornouailles comme Morgane, fille d'Ygerne dite aussi Ygraine et du duc de Cornouailles, est la demi-sœur, considérée comme la  méchante de service...., du roi Arthur.En cherchant dés fois c'est surprenant comme les légendes et histoires se mèlent..
      

    PATRIMOINE de SAINT-MALO-DE-BEIGNON

    l'église Saint-Malo (XI-XIIème siècle), restaurée en 1751. L'église conserve des vestiges romanes, notamment trois fenêtres, ainsi que le portail occidental. Le porche roman, qui date de la seconde moitié du XIIème siècle, est refait entièrement au XVème siècle. Le portail se compose de trois ogives encastrées l'une dans l'autre. Des restaurations ont été faites en 1751. On y trouve de nombreuses dalles funéraires datées de 1412 (celle de Guillaume Hamon), 1591 (celle de François Thomé), 1610 (Jean du Bec) et 1702 (celle de Sébastien du Guémadeuc, évêque de Saint-Malo, décédé le 2 mars 1702). Le baptistère date du XIIème siècle. La tribune dite "des évêques" date du XVIIIème siècle. Le retable date du XVIIème siècle ;
    le calvaire (XVIème siècle), situé place de l'église ;
    le château des Evêques de Saint-Malo. Ancienne résidence des évêques d'Aleth ou de Saint-Malo dès le XIème siècle. Cette résidence a été plusieurs fois restaurée et reconstruite. La dernière restauration est l'oeuvre de Mgr de Guémadeuc (fin XVIIème siècle). Le château est vendu, sous la Révolution, comme bien national. Il devient alors, successivement, la propriété des familles Cheffontaines, Trévelec, Boispéan (en 1895) et Guillaume. Il est détruit par plusieurs incendies : l'un en 1939, et l'autre en 1958, puis rasé et noyé sous un étang artificiel en 1977 ;
    les maisons (XVI-XVIIème siècle), situées place de l'église ;
    le moulin (XVII-XVIIIème siècle), situé au Jardin des Evêques ;
    Blason de la ville de Saint Malo de Beignon

    Blason de la ville de Saint MALO de BEIGNON : Crosse et mitre, symbole des évêques sur croix bleue
    et deux mouchetures d'hermine. Le blanc et le bleu sont inversés par rapport au drapeau de St Malo.
    source pr le blason :Commune de Saint MALO de BEIGNON

    François Thomé

    François Thomé Chanoine et Trésorier de Rennes, Abbé de la Vieuville et Prieur de Noyal-sur-Villaine. Il fut commis en 1575 pour travailler sur la réformation de la coutume de Bretagne. Il assista aux Etats Généraux de Blois qui se sont tenus du 06 décembre 1576 au 05 mars 1577. Il obtient de Henri III l'établissement des foires de Saint-Malo de Beignon et de Saint-Pierre de Beignon. Il se démit de ses fonctions à la fin de l'an 1586 puis vint résider à Saint-Malo de Beignon d'où il continua d'administrer le diocèse en qualité de Vicaire Général.
    Décésé à Saint-Malo de Beignon le 17 février 1591 et a été inhumé en l'église de Saint-Malo de Beignon. Sa dalle tumulaire est située à proximité du Maître-autel.
     
    Pour terminer je dirai que ce petit village reste un havre de paix qui recèle pas mal de surprises,préhistoriques et antiques et de trés belles maisons anciennes dans le bourg.Je vous laisses un slide avec des photos que l'on a pris , camping , village  et le jardin des eveques.
    Si j'ai vraiment un coin a vous conseiller pour séjourner a Saint Malo de Beignon et bien camping de Aleth :-)

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    Surgie des ténèbres de l’oubli par la volonté de Geoffroy Plantagenêt pour faire pendant à Charlemagne, dont les rois capétiens se réclamaient, la légende du roi Arthur est, surtout, un outil de propagande au service des rois d’Angleterre.
    Mais, dans les premières versions de la légende, Arthur ne meurt pas et part pour Avalon avec sa sœur, la fée Morgane. Cette version n’arrangeait guère les affaires d’Henri II Plantagenêt qui comptait, pourtant, beaucoup sur l’histoire d’Arthur afin d’asseoir une légitimité encore fragile et fortement contestée par ses ennemis.

    Alors qu’il espérait unir les Bretons et les Normands contre les Saxons, les derniers envahisseurs de la Grande-Bretagne avant Guillaume le Conquérant, les Bretons se montraient encore réticents et ne se pressaient pas sous la bannière Plantagenêt. Pourquoi une telle réserve ?
    C’est que non seulement Arthur n’est pas mort, mais la légende proclame qu’il reviendra en Bretagne et reprendra la tête de son peuple. Comment Henri II pouvait-il être roi à part entière quand la moitié de son royaume attendait le retour d’un souverain du VIe siècle ?
    Pour mettre fin à « l’espoir breton », Henri II fait donc écrire une nouvelle histoire d’Arthur, le Roman de Brut, version vulgarisée, tirée de l’Histoire des rois de Bretagne par Wace. Dans le Roman de Brut, qui sera la véritable base de tout le cycle arthurien, Arthur est bien emmené à Avalon mais il en est revenu et il est mort. Henri II « localise » alors Avalon qui serait l’abbaye de Glastonbury, à la frontière du Pays de Galles. En effet, Glastonbury est la traduction d’Inys Wytrin, c’est-à-dire l’île de Verre, qui est une des interprétations que l’on donne d’Avalon.
    Quant à « l’espoir breton », il est mis à rude épreuve après la « découverte », en 1190, de la tombe d’Arthur et de Guenièvre, par un moine de Glastonbury. Quand la tombe est mise au jour, selon les instructions d’un moine visionnaire, on découvre enfin le squelette d’Arthur et celui de Guenièvre, portant encore sa couronne d’or. Le coup est presque fatal pour « l’espoir breton » et la maison Plantagenêt exulte : non seulement Arthur est bien mort, mais il est maintenant un personnage historique que personne ne pourra plus nier. Pourtant, la légende a la vie dure et l’on dit encore en Bretagne qu’Arthur reviendra : « Roi de jadis, roi à venir ».
    source : historia nostra
    La tombe du Roi Arthur à Glastonbury


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  • Les jongleurs du XIIIe siècle avaient divisé les romans -mot désignant, à l’origine, les ouvrages écrits en langue romane- en trois catégories qui procédaient de trois sources distinctes : romans de Charlemagne, romans de la Table ronde et romans de l’Antiquité grecque et romaine.
    Chacune de ces trois catégories comprenait un grand nombre de sujets différents qui correspondaient l’un à l’autre par une succession de faits homogènes et analogiques. C’étaient autant de cycles formant un vaste ensemble, dans lequel on trouvait des personnages de même race et de même caractère.

    Le XIIe siècle fut la grande époque de la « romancerie » et les jongleurs, qui diffusaient ces romans, faisaient assaut de nouveauté, cherchant des sources de « gai sçavoir », où personne n’avait encore puisé. Ce fut pour répondre à la demande de leur public passionné que les trouvères de langue d’oïl mirent en rime et en prose les vieux « lais » bretons et augmentèrent le vaste domaine du roman français. De là, une longue série de romans « de Bretagne » ou de la Table ronde…
    Les chevaliers de Flandres et de Franche-Comté avaient accueilli, de la bouche des jongleurs bretons ou dans les livres latins écrits sur la foi d’anciens récits, les traditions des Celtes et des rois fabuleux de Bretagne. C’était le roi Marc et son neveu Tristan, épris de la femme de son oncle, Iseult, sous la fatale influence d’un philtre invincible. C’était aussi Arthur, l’Hercule celtique, l’époux de la plus belle et de la plus inconstante des femmes, Guenièvre, et qui était entouré d’une cour de héros.
    Les auteurs de romans bretons avaient fait d’Arthur le fondateur de la chevalerie, le créateur des tournois, en racontant que ce valeureux roi faisait asseoir à sa Table ronde les vingt-quatre -on dit parfois douze- meilleurs chevaliers de son royaume, qui formaient ainsi la cour plénière de la chevalerie. Arthur, en fait, est le symbole de la féodalité, le garant des valeurs chevaleresques et du système féodal où les chevaliers suivent leur propre route, tout en étant prêts à répondre, sur l’heure, à l’appel de leur souverain.
    Modèle de chevalerie, dont il est l’expression la plus achevée et la plus parfaite, figurant parmi les Neuf Preux -les autres étant Hector, Alexandre, César, Josué, David, Juda Macchabée, Charlemagne et Godefroy de Bouillon- Arthur n’en oublie pas le « fine amor », c’est-à-dire l’amour courtois qui règne en maître dans le monde arthurien. Les dames y jouent un rôle prépondérant et la galanterie la plus raffinée est de mise, élevant les principes du « fine amor » à son paroxisme puisque l’amour courtois est nécessairement adultère, tout comme l’est l’amour entre Lancelot et Guenièvre, entre Tristan et Iseult.
    source : historia nostra


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