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    Hung up
     
     

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    @@@350@@@350[/fichier]

    Pour ma niece Marine et pr moi . bisous ma puce

    Belle la Madonne

                  

     

    Frozen
    Remix 9mn 41
     
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    @@@450@@@450[/fichier]
     


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     Seal

    Then the rainstorm came over me Puis l'orage(1) s'empara de moi
    And I felt my spirit break Et je sentis mon âme se briser
    I had lost all of my belief you see J'avais perdu toute ma croyance tu vois
    And realize my mistake Et je réalise mon erreur
    But time through a prayer to me Mais le temps a été une prière pour moi
    And all around me became still Et tout autour de moi tout devint immobile
       
    I need love, love's divine J'ai besoin d'amour, l'amour divin
    Please forgive me now I see that I've been blind S'il te plaît pardonne-moi maintenant je vois que j'ai été aveugle
    Give me love, loves is what I need to help me know my name Donne-moi de l'amour, l'amour est ce dont j'ai besoin pour m'aider à connaître mon nom
       
    Through the rainstorm came sanctuary A travers l'orage est venu le sanctuaire
    And I felt my spirit fly Et j'ai senti mon âme voler
    I had found all of my reality J'avais trouvé toute ma réalité
    I realize what it takes Je réalise ce que cela prend
       
    [Chorus] [Refrain]
    'Cause I need love, love's divine Parce que j'ai besoin d'amour, l'amour divin
    Please forgive me now I see that I've been blind S'il te plaît pardonne-moi maintenant je vois que j'ai été aveugle
    Give me love, loves is what I need to help me know my name Donne-moi de l'amour, l'amour est ce dont j'ai besoin pour m'aider à connaître mon nom
       
    Oh I don't bet [don't bet], don't pray [don't pray] Oh je ne parie pas [ne parie pas], ne prie pas [ne prie pas]
    Show me how to live and promise me you won't forsake Montre-moi comment vivre et promets-moi que tu ne m'abandonneras pas
    'Cause love can help me know my name Parce que l'amour peut m'aider à connaître mon nom
       
    Well I try to say there's nothing wrong Bien j'essaie de dire qu'il n'y a rien de mal
    But inside I felt me lying all alone Mais à l'intérieur j'ai senti que je me mentais tout seul
    But the message here was plain to see Mais le message ici était clair à voir
    Believe in me… Crois en moi...
       
    [Chorus] [Refrain]
       
    Oh I, don't bet [don't bet], don't break [don't break] Oh je ne parie pas [ne parie pas], ne brise pas [ne brise pas]
    Show me how to live and promise me you won't forsake Montre-moi comment vivre et promets-moi que tu ne m'abandonneras pas
    'Cause love can help me know my name Parce que l'amour peut m'aider à connaître mon nom
       
    Love can help me know my name. L'amour peut m'aider à connaître mon nom.
       
      (1)=> rainstorm signifie littéralement tempête de pluie


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  • Avalon ou Glastonbury: (le cimetière caché des glaces ou le brillant caché lumineux), est le nom d'une localité du Somerset anglais, (autrefois au cœur du Wessex) siège d'une importante abbaye cistercienne au Moyen-Age, qui passe pour avoir été, en Domnonée, un des hauts lieux du celtisme antique, l'Ile d'Avalon, résidence favorite des fées, localisation de l'Autre monde chez les Celtes.


    Deux idées se dégagent de ce nom, celle de gel, de glace, de lumière (Glass) et celle d'enterrement, de cache de cimetière (bury) et relient d'emblée ce lieu au séjour des morts et à un univers lumineux.
    Avalon, Afallach est l'île des pommes, le verger sacré toujours florissant, lieu de séjour des héros celtes, jardin paraisiaque de l'Autre-Monde. C'est là, si l'on en croit le trouvère anglo normand Robert Wace, qu'Arthur, lassé des batailles et navré mortellement se fit porter pour soigner ses blessures, les bretons attendent qu'il en reviennent: "rex Arturus, rex Futurus". La pomme est ainsi pour les celtes, un moyen de conserver le contact avec l'Autre Monde étant l'instrument par lequel les immortels jettent un charme sur les héros qu'ils veulent attirer dans leur séjour. C'est sur une branche de pommier que Lug apparut un jour au roi d'Irlande. La branche ornée de trois pommes est aussi insigne de la majesté royale. Notre frère chevalier disparu, Robert Rotrou , nous apprit jadis que Remalard, en Perche, était aussi le jardin des pommes.

     
    A Glastonbury, sur les traces d'un ancien sanctuaire celte, attesté par la configuration des lieux et souligné par les historiens, s'établit, avant la conquête saxonne, un monastère de chrétienté celtique dédié à la vierge.  On y vénère deux moines irlandais, saint Indracht et saint Patrick, saints celtiques, et l'on rend à cet endroit également un culte à sainte Bridget (héritière de la déesse pan-celtique Brigitte?) qui y aurait abandonné son sac et sa quenouille.
    Au début du XIIème siècle, Guillaume de Malmesbury l'atteste comme il souligne que la tombe du roi Arthur sera découverte quand le roi se préparera à revenir. Il la situe même entre deux pyramides.
    C'est la seconde caractéristique de ce lieu que sa connexion étroite avec la Légende Arthurienne confirmée par la découverte à une grande profondeur dans l'ancien cimetière des moines de l'abbaye, en 1190, des restes de Guenièvre et d'Arthur. Ils furent ensuite transférés vers l'abbatiale.

    Auprès des corps, on trouva également une Croix de la période d'avant la conquête portant les mots:
    "Ici gît Arthur, le célèbre roi, en l'Ile d'Avalon".

     

    L'histoire de l'Abbaye comme l'imaginaire qui se développe autour d'elle ne sont pas non plus sans intérêt, car sa vocation, s'affirmant au delà des âges, est celle de rendre compte d'un sens caché, véritable symbole des connexions qui existent entre la religion des celtes et le christianisme au cours du premier millénaire.


    Disegni personali Fantasy

    Notons que :

    Le fait que Jésus Christ en personne aurait accompagné, dans sa jeunesse, son oncle Joseph d'Arimathie lors d'un voyage en Angleterre et fondé lui-même la première chapelle en Avalon. Construite en osier, elle aurait été érigée sur un terrain de culte druidique.
    Après la mort du Christ, Joseph, on le sait, transporta le Graal jusqu'en Occident et revint sur ces lieux avec douze compagnons pour fonder la première église d'Angleterre non sans avoir passé accord avec le druide Arvirogus, qui alla jusqu'à lui concéder un terrain, la tradition ésotérique chrétienne dont Joseph aurait été dépositaire (les mots sacrés du Graal) semblant s'accorder profondément avec la tradition celtique. C'est là qu'il aurait été enseveli avec deux burettes contenant le sang et la sueur du Christ. Un églantier qui fleurit en hiver rappelle sa visite. Il s'agirait du rejet du bâton de Joseph qui aurait survécu jusqu'à nos jours.

     

    Le choix de Glastonbury comme lieu sacré du christianisme celtique en "Bretagne la bleue" n'est certes pas du au hasard, l'Ile d'Avalon, le jardin des Pommes, symbolise la fertilité, l'abondance qui marque les séjours enchantés des Immortels. C'est le passage vers l'au-delà lumineux.
    C'est là que les druides avaient bâti l'un de leurs centres les plus importants des îles britanniques, véritable porte du Sid. Il reste dans l'Imaginaire collectif chargé des légendes de la présence des déesses et fées de l'Autre Monde, à tel point qu'une romancière américaine contemporaine à succès n'hésite pas à y situer le théâtre des exploits de ses héros celtes, en cet "endroit où le pâle reflet lumineux de l'Autre monde éclaire l'Univers des humains".
    Le lieu, d'une grande beauté, est constitué de trois monuments, également rattachés aux deux traditions:
    L'abbaye elle-même, dont les fidèles revendiquent l'antériorité sur toutes les autres églises de la chrétienté, y compris celle de Rome, sise à l'emplacement où Joseph d'Arimathie planta son bâton, geste fondateur s'il en est, tombeau sacré de Joseph et d'Arthur et Guenièvre. 
    La Tor, éminence qui domine Glastonbury et connut la double occupation celte et chrétienne (ermitage), à son sommet une chapelle est dédiée à saint Michel, le tueur de dragon, à l'épée flamboyante qui, en des bien des endroits, est invoqué là où les celtes s'adressaient à Belenos le Brillant, l'Apollon celte.. Comme les celtes qui devaient se rendre au sommet des montagnes sacrées, les pèlerins gravissent journellement les pentes herbues de la Tor et contemplent, arrivés au sommet, un panorama féerique qui permet de percevoir la position autrefois insulaire de l'endroit.

     

    Le puits du calice (Chalice Well) au pied de la Tor où Joseph d'Arimathie, dit la légende, cacha le Graal. Ce lieu est très fréquenté par les pèlerins qui tentent de percevoir dans les eaux du puits le secret de leur avenir. De même, les celtes se rendaient prés des fontaines réputées comme lieux de mise en contact avec le royaume des Immortels.
    Prolongeant le celtisme, le christianisme a sacralisé les lieux sacrés d'Avalon et Glastonbury a sublimé les éléments qui en faisaient la sacralité: arbre (l'aubépine du bâton de Joseph), source sacrée (Chalice Well), île (île d'Avalon), éminence (la Tor), fête de Samain (nous avons nous-même assisté aux festivités qui marquent, chaque année, Halloween à Glastonbury au milieu d'une foule considérable).. 
    Ces différents indices nous renforcent dans la conviction énoncée par Olivier Loyer que l'Eglise celte n'a pas été détruite mais que l'Eglise anglo-normande se l'est appropriée, Glastonbury, comme lieu de production de l'imaginaire collectif, participe de cette conquête culturelle et de cette incorporation spirituelle.
    Véritable Haut-Lieu des celtes comme du monachisme occidental, celto-chrétien d'abord, puis cistercien, l'Ile d'Avalon conserve tout son mystère que ne sauraient percer les yeux qui ne voient pas l'invisible.

     

  • Un soir d'été, dans l'air harmonieux et doux,
    Dorait les épaisses ramures ;
    Et vous alliez, les doigts rougis du sang des mûres,
    Le long des frênes et des houx.
    O rêveurs innocents, fiers de vos premiers songes,
    Coeurs d'or rendant le même son,
    Vous écoutiez en vous la divine chanson
    Que la vie emplit de mensonges.

    Ravis, la joue en fleur, l'oeil brillant, les pieds nus,
    Parmi les bruyères mouillées
    Vous alliez, sous l'arome attiédi des feuillées,
    Vers les paradis inconnus.
    Et de riches lueurs, comme des bandelettes,
    Palpitaient sur le brouillard bleu,
    Et le souffle du soir berçait leurs bouts en feu
    Dans l'arbre aux masses violettes.
    Puis, en un vol muet, sous les bois recueillis,
    Insensiblement la nuit douce
    Enveloppa, vêtus de leur gaine de mousse,
    Les chênes au fond des taillis.

    Hormis cette rumeur confuse et familière
    Qui monte de l'herbe et de l'eau,
    Tout s'endormit, le vent, le feuillage, l'oiseau,
    Le ciel, le vallon, la clairière.
    Dans le calme des bois, comme un collier divin
    Qui se rompt, les étoiles blanches,
    Du faîte de l'azur, entre les lourdes branches,
    Glissaient, fluides et sans fin.
    Un étang solitaire, en sa nappe profonde
    Et noire, amoncelait sans bruit
    Ce trésor ruisselant des perles de la nuit
    Qui se posaient, claires, sous l'onde.

    Mais un souffle furtif, troublant ces feux épars
    Dans leur ondulation lente,
    Fit pétiller comme une averse étincelante
    Autour des sombres nénuphars.
    Chaque jet s'épandit en courbes radieuses,
    Dont les orbes multipliés
    Allumaient dans les joncs d'un cercle d'or liés
    Des prunelles mystérieuses.
    Le désir vous plongea dans l'abîme enchanté
    Vers ces yeux pleins de douces flammes ;
    Et le bois entendit les ailes de vos âmes
    Frémir au ciel des nuits d'été !

    Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894)

     


  • Dans ton regard, je voyais toute mon existence.
    T'aimer été la seule vision de ma vie,mon rayon de soleil devait être la chaleur de tes bras.
    Mes larmes aujourd'hui ne peuvent se cacher, je prie  les dieux , le dieu , allant jusqu'à prier le diable pour que mon coeur combattes ces sentiments...
    Je croyais si fort en toi , sentiment de deux mains qui devaient se meler pour l'éternité.
    J'ai les yeux fatigués , las et voilés de chercher en toi une once de sincérité dans tes mots.


    Des images défilent  de ces vagues de ces nuits ,
    d'où je cherches un sens à mon existance..
    J'interprète ce silence comme un aveu de ton indifférence
    J'ai cru avoir de l'importance
    Tu n'avais rien promis ou si peu ,mais je t'ai fait confiance.
    Tous ces espoirs dans notre correspondance,
    J'étais sûre pourtant de notre attirance.
    Tu n'as pas joué la transparence
    Et je t'ai  sûrement fait trop de confidences.
    Peut-être qu'on n'a pas su résister à la distance,
    Mais moi je suis triste de cette absence
    Et de la confiance je suis passée à la méfiance...

    Je suis confiante par ce soleil qui  m'attend..
    Alors le temps m'emportera dans une folie que je voulais vivre.
    Mais un soir  un regard  sera celui du diable à qui on donnerai le bon dieu..
    Et mes souffrances deviendront tiennes.






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